Urbain et minéral

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Commentaire écrit le lundi 20 décembre 2010 à 05:35:27 (lien) Léon On pourrait même ajouter : "Et quand Metz fait la Roue, Dominique fait LEBEAU... pour 2014 !"

Belle fête populaire en l'honneur de saint Nicolas, qui aime les enfants.

Au monument aux morts ce matin à 9 heures 50 a eu lieu une cérémonie de la journée nationale d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.

Le coin du popodoran

Ajout le 30 octobre 2011 : Zemmour : « Je remercie la colonisation parce qu’elle m’a fait français »

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Commentaire écrit le mardi 14 décembre 2010 à 05:49:47 (lien) BLABLA Oui LEON. En rappelant également, que de nos jours, l'immigration (non clandestine) rapporte des milliards de bénéfice à notre état français (logique mathématique) ainsi au départ les immigrés reçoivent de l’Etat français 47,9 milliards d’euros mais ils reversent ensuite 60,3 milliards, soit un solde positif de 12,4 milliards d’euros pour les finances publiques ! Pas mal non ? :) Bon c'est vrai tout les Français ne comprennent pas cette logique et se laisse manipuler par les politiques d'extrême droite... on ne peut pas changer la mentalité de tous, j'en convient.

Commentaire écrit le lundi 6 décembre 2010 à 05:50:16 (lien) Léon Il est toujours aisé de regarder loin en arrière et de juger à postériori en oubliant que malgré notre souci d'objectivité notre appréciation ne sera jamais que subjective parce que nous sommes influencés par notre propre sensibilité (éducation oblige), nos engagements et notre propre vécu... Et si nous regardions l'avenir ? On nous culpabilise dès que nous ne nous affirmons pas "citoyen du monde", citoyen d'Europe", "libéral", etc. et pourtant notre pays, auquel le Peuple de base (les pécains comme disent les technocrates...)est attaché par la force de la tradition, par ce sang versé pour défendre notre Patrie..., est bradé par les Politiques et le "haut patronat" qui privilégient le profit financier immoral et international qui tue irrémédiablement l'emploi qui nous permet de vivre sur le sol Français. La guerre désormais est économique et notre défaite est presque déjà consommée : il suffira d'empoisonner notre "Coca-Cola", de bloquer nos importations en fruits et légumes et autres produits de 1ère nécessité pour nous faire mettre immédiatement "genous à terre"... Tout cela par la faute de nos élus d'aujourd'hui qui, hypocritement, utilisent ces respectables et indispensables cérémonies du souvenir pour nous faire oublier les tristes réalités d'aujourd'hui... Zut alors, réveillons-nous !

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 13:07:23 (lien) BLABLA Rire, Philippe réinvente l\'histoire.... Previsible Bouhouhou.................

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 11:31:33 (lien) Philippe à messine et Blabla En effet, les Français étaient en Algérie pour éviter les enlèvements sur les côtes françaises de personnes qui devenaient des esclaves en Algérie. la France a ensuite colonisé l'Algérie, qui est devenue un département français. Le niveau de civilisation a malheureusement été diminué depuis l'indépendance. La guerre avait été gagnée par les Français, de Gaulle a pourtant renié ses engagements et trahi tous les partisans de la France en Algérie, qui l'ont souvent payé de leur vie. Pas très beau.

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 10:13:51 (lien) BLABLA ! @Messine l’angoisse de l’amnésie impose un « devoir de mémoire » aux institutions, qui s’exprime, entre autres, par des politiques de commémorations et d’enseignement scolaire... J\'ai n\'a pas parlé de rédemption, puisque ce n\'est pas notre faute et nous sommes jeunes. Mais je n\'adhère pas à tout les idéaux Gaulliste, ni à ceux d\'aujourd\'hui... L\'Algérie et l\'Indochine ne sont pas si loin que cela dan notre histoire chère Messine. Évidemment, j\'allais oublier, la mentalité Française est basé sur : j\'ai raison, je sais tout, nous sommes les plus fort etc.... ;) ce qui nous vaut de la part des autres Pays du monde, raillerie, moqueries... Cela ne m\'étonne pas, mais quand on parle des Allemand sous Hitler, là on touche un point sensible sur leurs invasion en France, et c\'est complètement normal. Mes grand parents ont encore de la haine. Et je suis certain que beaucoup de d\'Algérien ayant combattu les Français, ont encore de la haine. Donc quand on assiste à une commémoration, il faut connaitre un peu l\'histoire de cette guerre, et pourquoi, il y a eu autant de mort, d\'un côté comme de l\'autre.

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 09:00:15 (lien) messine Blabla, je vous cite (les fautes en moins) "Et De Gaulle remet ça, mais cette fois ci les Français envahissent un autre Pays... maladroitement, puisque la défaite suivit. Il a finalement ressorti sa phrase illustre : je vous ai compris !" Je vous rapelle quand même que les Français étaient en Algérie depuis 1830... Après, on peut discuter de la manière dont la décolonisation a été menée, mais parsonnellement, je ne suis guère partisane de la repentance à tout crin. C'est comme si on expliquait aux jeunes allemands qu'ils doivent toujours avoir honte de leur pays parce que leurs grands-parents étaient nazis...

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 07:18:28 (lien) BLABLA Foutu guerre... La France du général de Gaule, hormis l'économie fleurissante, occuper un pays étranger n'a eu que pour effet des milliers de morts, du côté Français et de l'autre, Algérien. Pétain déplorait en 39, le retours à la guerre des Allemands sous le 3ème Rich et l'occupation de notre Pays. Et De Gaule, remet sa, mais cette fois ci les Français envahissent un autre Pays... maladroitement, puisque la défaite suivie. Il a finalement ressortie sa phrase illustre : je vous ai compris ! Fallait qu'il comprenne avant d'envoyer des soldat Français pour nombre d'entre eux mal préparés et surtout pas motivés par cette guerre "d'invasion". Résultat ? : des milliers de jeunes soldats Français et Harki mort au combat ou dans des situations inhumaine voir se sauvagerie, dans l'un ou l'autre camp. Comment, expliquer de cet héritage historique fait de honte, à nos enfants ?? Mais si on parle de l'Algérie, parlerons nous aussi de l'Indo ? Ce n'étaient pas des guerres d'équilibre mondiale, vraiment pas. Et dire, que j'aurais pus connaitre mes oncles...

Vous avez votre mot à dire

Décoration sans âme

Une réunion ordinaire du Comité de quartier Centre Ville a eu lieu le 18 novembre 2010. Sur 63 membres, 12 ont participé, ce qui n'a jamais été aussi peu. Un tour de table a été organisé pour comprendre les raisons de la démotivation. La raison la plus importante semble être un sentiment d'inutilité, conforté par l'absence de considération de la Mairie pour les travaux réalisés, le peu de retour.

Les 4 groupes de travail avaient présenté, le 20 octobre 2009, leurs projets lors de la Réunion publique du comité de quartier centre ville qui s'était très bien déroulée. Mais très rapidement, les membres du Comité ont commencé à avoir des doutes sur la prise en compte de leur travaux, alors que l'organisation s'enlisait dans une bureaucratie inefficace : état au 10 décembre 2009 .

Un an après, le constat est le même, mais il est accentué par des prises de position maladroites du service responsable de la démocratie participative, dans un compte-rendu d'une réunion de l'équipe d'animation du 11 octobre 2010. En plus d'avoir été en quelque sorte abandonnés, les membres du Comité se sentent accusés d'être responsables du mauvais fonctionnement, qu'ils imputent, quant-à eux, au service, perçu comme un frein à la prise en considération des projets par la Mairie.

A la fin de cet échange, le service responsable de la démocratie participative reconnaît que le fonctionnement doit être revu, et qu'une génération a été sacrifiée.

Les membres présents proposent les prochaines étapes, le service les accepte en demandant d'élargir la participation à tous les volontaires. Notamment, une rencontre est prévue avec le chargé de communication sur les grands travaux de la ville, afin de donner suite à la première rencontre du 23 mars 2010, ainsi relatée dans le compte-rendu de la réunion ordinaire du 28 juin 2010 :

Le rapporteur du Groupe de travail rappelle que le 23 mars dernier une rencontre avec Monsieur MUSCAT chargé de la Communication sur les grands travaux de la Ville a eu lieu. La réunion a été productive. Monsieur MUSCAT a présenté les projets de communication en cours de réalisation : Metz Magazine spécial travaux, la restructuration su site internet de la Ville de Metz, la prise en compte d’une meilleure diffusion de Metz Magazine (convention avec La Poste depuis peu).

Toutefois des points demeurent en suspens : - consultation du Groupe de Travail sur l’élaboration de panneaux didactiques sur les différentes étapes du chantier de la Place Mazelle - consultation du Groupe de Travail sur le réaménagement du cheminement de la Place Mazelle vers la Porte des Allemands.

Le Groupe de Travail s’interroge sur la volonté réelle des services à consulter le Comité de Quartier sur ces sujets. Beatrice KEMPENICH rappelle au Groupe de Travail que sa présence aux réunions pourrait faciliter son rôle d’interface avec les services municipaux. Sa présence, sans être systématique, permettrait de mieux cibler les propositions du Groupe de Travail et faciliter leur traitement par les services. Les membres du Groupe de Travail se reconnaissent suffisamment pertinents sur les sujets abordés pour se dispenser de la présence de l’Agent de Développement Territorial.

Madame SALLUSTI rappelle que le chantier de la Place Mazelle a fait l’objet d’un concours et que la Ville ne pouvait pas communiquer avant la délibération du jury et la présentation du projet du lauréat en Conseil Municipal. C’est à partir de maintenant qu’une communication sur le chantier, les options retenues et les échéances de réalisation pourra être mise en place. Le projet sera présenté en avant première le 12 juillet au Comité de Quartier qui pourra faire ses observations.

Le Groupe de Travail regrette que la Ville n’ait pas associé le Comité de Quartier à la réflexion sur ce chantier et sur la rédaction du cahier des charges qui a servi au lancement du concours. Aujourd’hui tout semble décidé et la consultation parait formelle. Madame SALLUSTI rappelle que certaines mises en place de procédure notamment en matière d’urbanisme nécessite beaucoup de discrétion afin de respecter les règles de la concurrence et de marchés publics et qu’il y a des étapes très techniques réservés aux seuls professionnels. Madame SALLUSTI comprend qu’il peut y avoir décalage entre l’impatience du citoyen et le calendrier administratif.

Les membres des Comités de Quartier de Metz ont par ailleurs été invités à rencontrer, le 20 novembre 2010, une délégation des Conseils (l'équivalent de nos Comités) de Quartier de Strasbourg Centre et Gare. Nous (une poignée) avons vu arriver un beau groupe de nos collègues strasbourgeois, sympathiques et motivés, avec qui nous avons échangé pendant une bonne heure.

Ces échanges ont été très enrichissants, nos interlocuteurs ont répondu à nos nombreuses questions, et nous avons pu mesurer combien nous sommes loin d'un fonctionnement aussi abouti que le leur, bien qu'ils aient été mis en place au même moment que nous (il y a 2 ans, lors du changement de Municipalité, PS comme à Metz).

La meilleure preuve ? Voir les sites :

Conseil de Quartier Centre Ville de Strasbourg

Strasbourg s'engage pour la démocratie locale

Conseil de quartier de Strasbourg centre

Ce dont nous pourrions nous inspirer :

- aux Conseils de Quartier participent également les socio-professionnels ;

- le nombre de membres est de l'ordre de 30 - 35 personnes, ce qui permet d'organiser des réunions plénières à 20 - 25 ;

- les Conseils travaillent sur les aspects d'urbanisme (habitat, PLU) uniquement, le "lien social" est du ressort des associations bien plus aptes à avancer sur ces sujets ;

- les réunions plénières sont mensuelles, aucun élu ne participe de droit ; le bureau du Conseil fixe l'ordre du jour : organisation interne, avis à donner, sujets présentés par la ville, ou auto-saisie ; un animateur professionnel (payé par la Mairie mais sans lien de subordination avec elle) encadre les réunions ;

- chaque Conseil dispose de moyens, dont un "auxiliaire de proximité" (salarié de la Mairie), un bureau, séances de formation, et même un budget qui permet d'organiser le voyage à Metz ou quelques actions de convivialité ;

- le travail des Conseils est reconnu car officiel, par le biais des avis du Conseil qui sont annexés aux compte-rendus du Conseil Municipal !

- les volontaires peuvent également travailler en Commissions (3 pour le Centre Ville) en dehors des plénières (exemple : aménagement des berges de l'Ill) ;

- des ateliers de travail sont organisés par la ville, les membres des Conseils sont considérés comme "réserve de population à laquelle la ville peut faire appel", en plus des associations de riverains, piétons, cyclistes, usagers ; ce travail est jugé très intéressant.

NB. Proposition d'un membre du Comité (qui était la veille à Strasbourg) au Conseil : améliorer la signalisation des parkings relais depuis les autoroutes arrivant à Strasbourg. Il semble qu'il existe un tarif très intéressant parking + tram (à 4 personnes) pour 2 euros. Inversement, les membres du Comité ont proposé aux membres du Conseil de leur faire part de leurs idées éventuelles suite à leur visite de Metz.

Courriel du 22 novembre 2010 d'Alain, porte parole de CoQ1 (centre) :

Bonjour, A moi de vous remercier de votre accueil et des qualificatifs que vous avez utilisé dans votre blog, qui me conviens parfaitement. Nous avons bien compris, si tout ne va pas pour le mieux dans la démocratie participative à Strasbourg, qu'il est d'autres villes, dont Metz, dans lesquelles la pratique de citoyen responsable est encore plus difficile.

J'ai pu mettre quelques mots de cette visite sur notre site (lequel n'existe que par notre seule volonté, vous vous en êtes aperçu). Nous vous ferons part de la date (certainement au cours des premiers mois de 2011) de notre prochaine réunion publique afin de vous y inviter.

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Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 06:04:34 (lien) BLABLA @LEON Il n'y pas de honte à se faire manipuler, le tout est d'en avoir pris conscience. Philippe continu t-il le comité de quartier, ou s'en va t'en guerre contre des moulins ? Et les autres ont-il pris conscience, du syndrome du pantin ? :) VIVE LA FRANCE ! VIVE LA RÉPUBLIQUE ! VIVE LA POLITIQUE !

Commentaire écrit le jeudi 2 décembre 2010 à 04:51:02 (lien) Léon @ Blabla : Vous avez tout-à-fait raison, j'en conviens, j'ai été "manipulé" et j'en suis conscient, comme tous les autres membres des Comités de quartier dont beaucoup peut-être se forcent à douter de cette vérité car tous les membres étaient volontaires, motivés et crédules dans la démarche "soit-disant citoyenne" vantée par le Maire. Au final c'est du "pipeau" : lorsque l'on fait des propositions concrètes, elles ne sont pas traitées (j'en ai personnellement 2 exemples significatifs) et lorsque l'on remue le cocotier une réponse négative survient 9 à 10 mois plus tard. C'est surtout cela la "démocratie participative" à Metz !

Commentaire écrit le mercredi 1 décembre 2010 à 14:48:22 (lien) BLABLA !! LEON VS SOLEIL On s\'en tape de la démocratie participative avec un petit \"d\" !! Mais qu\'est ce qu\'on s\'en fou... haaaaa Franchment dites moi combien de messins s\'intéressent à ce genre de truc ? Vous savez très très bien, que la politique sur Metz est essentiellement gauche, plein pouvoir, de haut en bas. Que voulez vous faire... rien. A part, beugler sur un blog, rien. Pour faire avancer des projets, il faut faire \"masse\". Ce n\'est pas 10-15 pelés qui vont faire quelque choses de viable, surtout que se sont des groupes, petits qui servent d\'approbation à la Mairie... et encore j\'espère que vous signé pas de contrat d\'approbation... tout est politique, médiatique (manœuvré par les politiques, et de plus un peu de Marketing au sein des parties, permet de lancer la machine et de faire un peu de propagande, sa fait toujours du bien. En gros, Philippe, vous Soleil, Léon, vous êtes des victimes, malheureusement et sans être impolie. Peut être allez vous me dire le contraire ou alors la vérité ne blessera personnes vous serez des patriotes lucides. Plusieurs voies permettent de se faire entendre, peut être est-ce la mauvaise ?

Commentaire écrit le mercredi 1 décembre 2010 à 11:45:04 (lien) BLABLA ! @MESSINE* Philippe et les sites internet ou la recherche d'un Blog plus ludique ou plus pratique bein sa fait 2 ! Donc Messine, chère et tendre Messine, soyez compréhensive et "scroller" au mieux... *(Toujours pas de photos de vous en maillot de bain...) (TOUJOURS PAS DE NOUVELLES DE TONTON OULY ????)

Commentaire écrit le vendredi 26 novembre 2010 à 04:02:25 (lien) Léon Au fait, Philippe, Mme Sallusti semble vous avoir entendu. En effet les membres des Comités de quartier ont reçu un courriel leur annonçant d'une part, la réécriture de la Charte de la démocratie participative, d'autre part le renouvellement complet des membres des Comités de quartier dès janvier 2012. Que dire de plus ? N'est-ce pas là l'aveu implicite d'un cuisant échec de la démarche de démocratie participative maladroitement lancée au lendemain de l'accession de M. Gros à la Mairie de Metz ? Souhaitons-leur un franc succès de 2me chance en veillant à ne recruter dans les futurs Comités QUE des militants encartés PS ou Certs, ainsi la nouvelle démocratie participative sera "enfin" bien disciplinée !

Commentaire écrit le mardi 23 novembre 2010 à 12:46:29 (lien) Soleil Bravo Philippe pour cette franchise. J'ai participé aux XIIèmes journées de la démocratie locale à grenoble en mai dernier. Tous les comités de quartier n'étaient pas représentés : pourquoi ? Aucun retour, à ma connaissance, ne semble avoir été fait vers les différents Comités de quartier : pourquoi ? Sommes-nous associés aux différents projets en cours ? : Non ! Pourquoi ? Beaucoup (c 'est un euphémisme !) partagent mon sentiment que les CDQ sont "utilisés" comme "Comité d'approbation de la politique municipale" : la fréquentation des réunions notamment plénière s'en ressent et... cela n'inquiète pas la municipalité : pourquoi ? A quoi bon continuer ?

Commentaire écrit le lundi 22 novembre 2010 à 15:23:16 (lien) Philippe à messine, j'ai essayé de tenir compte de vos remarques de forme, mais je ne peux pas faire de miracle.

Commentaire écrit le lundi 22 novembre 2010 à 14:47:31 (lien) messine Que dire? J'ai l'impression de me répéter chaque fois que l'on parle des comités de quartier... Ca ne change pas! PS pour Philippe: Pourriez-vous faire des sauts de lignes de temps en temps, on est obligé de "scroller" (j'ignore le mot français, hum...) pour lire les phrases jusqu'au bout, pas très lisible...

Quand on a des invités au salon, est-ce qu'on allume la télé ?

Bravo à la Fédération des commerçants et à l'association d'animation du quartier gare qui ont supprimé l'infâme télé de l'année dernière !

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Commentaire écrit le lundi 22 novembre 2010 à 14:44:49 (lien) messine Je me suis aussi fait la réflexion: il y a dû avoir de nombreuses critiques à l'encontre de l'écran géant pour qu'il soit retiré cette année, et c'est tant mieux!

200 pages de bilan en quelques lignes

Dégât collatéral du transport Mettis

Les pavés chinois de la place de la République populaire

Porte des Allemands, place Royale, et gare

Metz ruinée par ses pavés

J'ai assisté à l'inauguration de la place de la République le 20 novembre à 17 heures, et au lancement des marchés de Noël.

Monsieur le Maire précise qu'elle a coûté un tiers du coût de la construction du Centre Pompidou Metz, ce qui est considérable : 23 000 000 euros.

Il remercie le Président de la Fédération des Commerçants, Alain Steinhoff, à l'origine de la présence de la grande roue, qui se voit depuis l'autoroute et depuis le centre Pompidou : "il se passe quelque chose à Metz".

Il explique comment il a contribué à faire déplacer le Carrosse de Xavier Veilhan de la cour du château de Versailles à Metz, et Jean-Luc Bohl relève ce clin d'oeil de l'histoire de la place de la République, autrefois place Royale.

Pour ma part, je considère que le carrosse, symbole royal, est un beau pied de nez à la République, enfantée dans la douleur inhumaine de la Révolution : "qu'un sang impur abreuve nos sillons" !

Je regrette par ailleurs 2 choses sur cette place :

- l'absence de jeux d'enfants ;

- l'éclairage hideux.

Emmanuel Lebeau est à l'arrière de la foule, avec une banderole : "ici on inaugure... A la gare on défigure", en référence au projet de transport sur la place de la gare.

Liberté - L'agneau libertaire ressent de l'affection pour sa mère mais la fuit, il ressent de la répulsion pour le grand méchant loup et se jette en sa gueule :

Egalité :

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Commentaire écrit le samedi 1 janvier 2011 à 04:58:28 (lien) Ursule J'aime bien l'image de l'agneau quittant sa mère affective pour se jeter dans la gueule du loup d'apparence affable... On dirait un peu le peuple Messin, après 35 années d'amour partagé avec son ancien Maire, qui s'offre en victime expiatoire "à qui nous savons" en oubliant que les promesses électorales n'engagent que ceux qui les écoutent

Commentaire écrit le dimanche 5 décembre 2010 à 07:37:45 (lien) BLABLA Ils auraient été excusable, si ils avaient mis des Grille en fer forgées et de l\'or, cela aurait fait un peu place STANISLAS... :)) Oaui, c\'est vrai que c\'est super austère, sa fait flipper la nuit... et puis le coût, oufffffff, la moitié du Pompidou ? Dire que dans la rue, les gents crève de faim ou ne peuvent payer leurs factures EDF... Super... la vache.

Commentaire écrit le mercredi 24 novembre 2010 à 05:12:35 (lien) Léon Comme vous Philippe j'étais là, attentif aux discours et aux attitudes de la foule des Messines et des Messins, attirés par la magie de Noël avec l'ouverture des "Christkindelmarchten". Des propos de notre Maire j'ai été frappé par le coût de la réfection de la Place de la République : 29 millions d'euros, c'est la moitié du coût du Pompidou- Metz, cela paraît exorbitant pour un simple pavage "froid et austère" d'une place qui aurait mérité des fleurs et de la verdure pour justifier à notre ville son label de "Ville VERTE" et de "Ville JARDIN". Mais, 29 millions d'euros c'est aussi : - le coût cumulé de 24 années de "Nuit-blanche (850.000 euros l'an) + Metz-Plage (350.000 euros l'an) -ou encore le coût de 34 "Nuits Blanches" -ou de 82 années de "Metz-Plage" ! Alors, tant qu'à faire, n'eût-il pas mieux valu ériger directement le centre POMPIDOU-METZ sur la Place de la République ? Les contribuables Messins auraient économisé 29 millions d'euros d'impôts et toute cette accumulation de travaux aussi spectaculaires qUE RUINEUX qui asphixient de plus en plus notre belle ville de Metz, riche de 3000 ans d'histoire...

La tombe de l'enfant roi

Exposition Toutankhamon au parc des expositions de Metz Métropole.

Les originaux sont au musée du Caire, on voit ici de très belles reproductions, mises en scène comme dans le tombeau de la Vallée des rois, découvert par Howard Carter en 1922. Ces objets précieux ont plus de 3000 ans, on est impressionné par la spiritualité des Egyptiens qui savaient déjà que la vie terrestre n'est qu'un passage, et la beauté de leur art.

Souvenir Français

Méchant Cavaignac, gentil Lévy

La Lorraine et l'Alsace, à cette heure, sont enveloppées des plus effroyables ténèbres. Elles sont bâillonnées et ensanglantées, traitées comme deux pays conquis une nouvelle fois. Voilà ce que l'on sait. On entend la fusillade dont les Allemands poursuivent les meilleurs de là-bas ; mais, jusqu'à cette heure, on ignore les noms de ces héros sans armes assassinés. Je salue le maire de Saales, qu'ils viennent de passer par les armes ; je ne suis même pas, à cette heure, en mesure d'écrire son nom, et j'ignore dans quelles conditions exactes vient d'être égorgé notre glorieux frère, le martyr de Metz, Alexis Samain.

J'ignore, et pourtant je vous parle de lui. Hier, je lui promettais, au nom des patriotes, un monument dans Metz reconquise. Aujourd'hui, Le Temps veut lui donner une rue de Paris. Maintenons pieusement sur lui notre regard. Il tombe comme un soldat de la civilisation éternelle, devant les brutes incorrigibles que l'univers va pourtant corriger.

Alexis Samain appartenait à une excellente famille bourgeoise ; son père était Messin, sa mère de Puttelange. Il avait fait ses études à Metz puis à Nancy. Nous étions deux labadens. Mais lui, tout jeune. C'était un garçon de 29 à 30 ans, de taille moyenne, très énergique, nullement démonstratif d'ailleurs, une nature ardente et fermée, un vrai Lorrain. Il agissait d'une manière extraordinaire sur les jeunes gens de la Société qu'il présidait, La Lorraine Sportive. Sous son influence exemplaire, on méprisait, comme elle mérite de l'être, l'infériorité de la brute allemande.

Celle-ci vient de se venger. Bien souvent, les uns et les autres, nous avions conseillé à Samain de quitter Metz (où il dirigeait un important commerce de cigares). Il s'y refusait par dévouement à ses jeunes gens et pour demeurer auprès de sa vieille mère malade, qui vient dernièrement de mourir. Avec quelle joie, les Prussiens se sont jetés sur ce noble jeune homme, je le comprends ! car je sais jusqu'à quel point ils sont privés d'esprit chevaleresque, Mais quel prétexte peuvent-ils bien avoir trouvé ?

Nous interrogeons vainement l'horizon de Lorraine. Tout se tait.

Pourtant deux patriotes messins ont réussi, cette semaine, à franchir la frontières, deux amis de Samain : Jean, le courageux président du Souvenir Français, celui qui veillait au culte exaltant des morts en Lorraine, et le chanoine Collin, le directeur du journal Le Lorrain, celui qui, jusqu'au bout, a propagé et magnifié les thèses françaises.

Honneur à ces deux hommes-drapeaux !

J'ai causé longuement aujourd'hui avec l'un d'eux. Je l'ai avidement interrogé sur chacun des nobles mainteneurs de la cause française aux pays captifs. (...) N'empêche que, dans la nuit du lundi 24 au 25, le câble électrique (ou téléphonique, je ne sais) qui relie tous les forts de Metz fut coupé. Par qui ?

Les Prussiens ont imaginé une grande manifestation théâtrale de brutalité, afin de jeter la terreur dans tout le pays. le mardi 25 et le mercredi 26, durant deux jours et une nuit, ils aiguisèrent bruyamment leurs sabres et leurs baïonnettes. Ils exigeaient que toute la ville les vît et les entendît. Plusieurs groupes de soldats furent même envoyés, aux quatre coins de Metz, poursuivre la même opération chez des maréchaux. Que dites-vous de cette fête de l'aiguisage ou de l'affutage des outils de guerre ! Sommes-nous assez style Attila !

C'était insuffisant. Cette manière n'était pas suffisamment kolossale. Il fallait au milieu de cette orgie le sang d'un homme désarmé.

- Mais, disais-je  à mon interlocuteur, comment ont-ils trouvé le moyen légal d'assassiner Samain ?

- J'imagine, m'a-t-il dit, qu'il y a eu une superposition savamment organisée des deux codes, civil et militaire. La justice civile avait constitué un dossier lentement, en temps de paix ; elle l'a transmis, dès l'état de guerre proclamé aux juges militaires. Ceux-ci, en feuilletant ce dossier, ont vu des faits dits de haute trahison. Samain était sous-officier. On entrait en temps de guerre. Ah ! ah ! ont-ils dit joyeusement, nous le tenons. C'était la mort immédiate.

Je ne conteste pas l'esprit de méthode des Allemands. Mais je dis que leurs fameuses méthodes, trop vantées, continuellement, dans tous les ordres, sont infécondes. Ils viennent d'appliquer sans broncher le système, auquel ils proclament s'être arrêtés, de briser les os de chacun des Français qu'ils rencontreront. Mais je prie que l'on me dise où est, à leur point de vue, l'utilité de cette méthode, et s'ils croient avoir trouvé le sûr moyen de se faire aider contre la France par les gens de Metz !

Le patriote messin avec qui je causais ce matin d'Alexis Samain, m'a dit comme conclusion, les yeux pleins de larmes d'amitié pour le jeune héros :

- Si nous redevenons Français, tout cela n'est rien.

Français, ils l'ont toujours été. Leur pays va redevenir la terre de France, la plus belle terre de France, arrosée par un tel sang irréprochable. Et, comme cadeau de retour, après cette longue absence, voici qu'ils nous apportent la figure exemplaire d'Alexis Samain, pour qu'il devienne un des patrons de la jeunesse française.

Maurice Barrès, l'Union sacrée

Le Souvenir Français en Lorraine annexée (1907 - 1914)

Alors, une rue Alexis Samain à Metz ?

Bienheureuse Soeur Marguerite Rutan

Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire

Née le 23 avril 1736, à Metz, la huitième de 15 enfants, Marguerite Rutan est initiée aux travaux de son père, architecte. Elle apprend à s’occuper des enfants. Le 23 avril 1757, elle entre dans la Compagnie des Filles de la Charité. Cinq mois après, elle quitte l’internat des novices pour Pau, poste de confiance. L’Hôpital, pour relever ses finances, lui confie en sus des malades, la direction de la Manufacture des Enfants trouvés.

En 1793 elle est à Dax. C’est la période de la terreur. Certains réclament l’expulsion des sœurs. L’évêque, pourtant constitutionnel, les soutient et se prononce pour leur maintien. Le 3 octobre 1793, les religieuses doivent choisir : le serment à la Constitution ou l’expulsion. A l’unanimité, elles refusent de prêter serment. Les services qu’elles rendent chaque jour aux pauvres et aux malades de la ville sont tels que personne n’ose demander leur renvoi. La Terreur cependant s’installe à Dax et accélère le processus : la maison des Capucins et celle des Carmes ont déjà été transformées en prison. A la fin de l’année, sœur Marguerite est accusée d’avoir « par son incivisme, cherché à corrompre et à ralentir l’esprit révolutionnaire et républicain ». Elle est envoyée à la maison de réclusion des Carmes.

Le 9 avril 1794 elle comparaît devant un tribunal révolutionnaire. On a trouvé chez elle des papiers compromettants : des prières, et lettres des défunts hospitalisés qu’elle devait garder pour leurs familles. Les tambours couvrent ses paroles de défense. Sentence de mort immédiate prononcée.

Sœur Marguerite chante le Magnificat en montant à l’échafaud. Elle repousse le bourreau en disant « Aucun homme ne m’a jamais touchée ! ». Puis, elle ôte elle-même son mouchoir de tête et ses fichus de cou. Un an plus tard, le directoire du district déclare : « La commune de Dax regrettera longtemps cette femme vertueuse qui, par caractère tenant à son opinion religieuse, a été inhumainement sacrifiée sur des motifs dont la preuve reste encore à acquérir ». Martyre de la foi Le 9 avril 1805, date anniversaire de son exécution, un acte civil solennel de réparation est adressé pour la respectable victime. Maintenant reconnue martyre de la foi, il n’est plus nécessaire à sœur Marguerite Rutan d’attendre un miracle pour être béatifiée. Sa probable béatification future sera peut-être l’occasion de la faire davantage connaître dans le diocèse de Metz.

il semble qu’elle soit plus connue dans les Landes qu’en Lorraine, même s’il existe une rue Marguerite Rutan à Metz (dans le quartier de Vallières, parallèle au boulevard de l’Europe et perpendiculaire à la rue des Petites Sœurs).

Eglise catholique de Moselle

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Commentaire écrit le mercredi 12 janvier 2011 à 10:10:37 (lien) corse TB pour cette soeur de la Charité, Marguerite RUTAN. Je pense seulement que l'évêque de Metz Mgr Raffin n'aura pas l'outrecuidance d'aller pavaner aux fêtes en son honneur, lui qui s'emploie à détruire les lazaristes dans l'évêché de Metz.

J'en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant.

Fausses promesses

Réalité des faits

Quand le maire de Metz nous sidère en citant le Figaro Magazine

Metz demain

Taxe d'habitation à Metz (commune et intercommunalité)

+ 2,9 % en 2010 (dont zéro pour l'intercommunalité)

+ 11,5 % en 2009 (+ 5,7 % pour la commune, le reste pour l'intercommunalité).

Taxes foncières à Metz (commune et intercommunalité)

+ 4,1 % en 2010 (dont zéro pour l'intercommunalité)

+ 15,7 % en 2009 (+ 9,7 % pour la commune, le reste pour l'intercommunalité).

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Commentaire écrit le mercredi 3 novembre 2010 à 12:57:49 (lien) BLABLA Imaginez qu'un Messin achète un immeuble vétuste à Metz ....... Ahaha SOLEIL rien qu'un immeuble... Alors, il reste encore des bourgeois en cette période de crise ? Pourquoi un Messin, les investisseurs immo, viennent de tout les horizons, de tout la France voir couramment, outres frontières... Cela me rappel une blogueuse artiste sur votre ancien site Philippe, qui avait acheté un immeuble et qui avait des déboires avec la Mairie. Qu'est devenu la suite de cette affaire, a telle touchée la somme d'un ou plusieurs millions d'euros ? Peut être est-ce pour cela qu'on ne la revoit plus ? Suisse ?:)

Commentaire écrit le mardi 2 novembre 2010 à 09:51:13 (lien) Soleil Ah M. PHILIPPE, j'apprécie beaucoup votre nouveau style. Bravo ! Il y a une injustice dans cette augmentation : elle concerne la base cadastrale de taxation qui remonte à 1977... et son niveau de confort des habitations d'alors. Imaginez qu'un Messin achète un immeuble vétuste à Metz (rue Marchand par exemple) et le réhabilite en le dotant du confort le plus contemporain sans autre formalité, il continuera à être imposé à un niveau fiscal dérisoire sans pour autant être un fraudeur... Et le cas n'est pas rare, se murmure t'il, une émission de CAPITAL sur M6 la démontré !

Déjà cassé !

Mondialisation à Metz

Nouvelles doléances

Aire de jeux désolée

Fontaines royales

Ce n'est pas normal d'avoir choisi un matériel fragile qui ne dure pas 3 mois, quel gaspillage !

Par ailleurs, ça manque de poubelles :

Créatures aquatiques des grottes

Je ne vois toujours pas de bébé qui pleure, où sont-ils donc ?

La ville de Lyon

Sainte Ségolène et les Trinitaires

Aussi lent que le Mettis

Elle sonne toutes les heures

Horloge sans cadran

A quoi sert le FRAC ?

Passages

NB4

Marie-Madeleine

Mur de lumière

Paysage-document

Extraits du dossier de presse (NB. Les illustrations n'en font pas partie) :

Originaires de plusieurs continents, les dix artistes réunis ici abordent les relations complexes et souvent inextricables qui lient société et religiosité.

Les œuvres présentées dans Volando hacia la tierra / S’envoler les pieds sur terre explorent quelques sujets-clé : les structures rituelles employées pour interroger les représentations du corps social (Taller E.P.S. Huayco, Mona Vătămanu & Florin Tudor, Alexandre Vogler) ; le désenchantement et la rébellion de la psyché individuelle face aux dogmes religieux (Flávio de Carvalho, Ossama Mohammed et Valérie Mréjen) ; les actes d’iconoclasme et d’iconophilie en réponse à la présence omnisciente du pouvoir aussi bien politique que divin (Samuel Beckett, Cristina Lucas, José Alejandro Restrepo).

Dans la vidéo Más luz (2003), Cristina Lucas témoigne de sa visite aux confesseurs de trois églises de Madrid. Faignant d’être tiraillée par le dilemme d’être à la fois artiste et catholique, Cristina Lucas interroge subrepticement les prêtres, les questionnant sur le mépris absolu qu’a l’Église catholique pour l’art contemporain. Rien de nouveau évidemment pour le spectateur dans la manière dont le catholicisme est devenu l’un des principaux promoteurs de la paresse esthétique.

Le film offre un point de vue rare sur le manque de réflexion presque complet qu’a l’Église à ce sujet. Malgré l’avantage que leur confère la hiérarchie, les prêtres réussissent à peine à apporter une explication économique ou soi-disant éthique au manque de visées esthétiques de leur religion. Ils n’arrivent pas à percevoir la stérilité culturelle comme un symptôme de son obsolescence.

Il suffit de comparer leur désarroi à la rhétorique fleurie du pasteur protestant qui participe au film The Holy Artwork (2001) de Christian Jankowski où il improvise un prodigieux sermon sur le divin et l’esthétique, pour ressentir l’inertie du catholicisme trahie par son contact le plus superficiel avec la modernité.

Dans la vidéo Habla (2008), l’artiste met en scène une action dans un décor onirique où elle brandit un marteau, qu’elle utilise pour détruire une énorme statue de Moïse. À chaque coup de marteau, l’artiste interpelle le prophète des trois religions monothéistes, lui intimant l’ordre de se défendre: « ¡Habla! » (« Parle ! »).

Nous devons considérer la trinité masculinisante du Père, du Fils et du Saint-Esprit afin de comprendre que les Écritures s’expriment toujours dans la perspective du mâle dominant.

Le fait que Lucas attaque à coups de marteau une figure qui véhicule un archétype de l’ordre social catholique (Les Dix Commandements) est une tentative symbolique pour abolir l’héritage religieux tout entier, héritage sous la pression duquel nous travaillons, et qui est le pilier de la hiérarchie sexuelle.

Créé à la fin de la dictature militaire péruvienne (1968-80), le Taller E.P.S. Huayco est un collectif d’artistes opérant principalement dans l’espace public. Durant sa courte période d’activité, il réalise un certain nombre d’actions et d’œuvres (slogans, sondages, œuvres graphiques, installations au sol...) ayant pour objectif de choquer le « bon goût bourgeois ».

En 1979, le Taller E.P.S. Huayco revendiquait à travers le Festival Art Total Contacta – quatre jours non-stop dans l’espace public ouverts à toutes les participations reconnues ou expérimentales d’art, théâtre, poésie, musique, cinéma et artisanat - l’expérience artistique collective pour "promouvoir les luttes de libération en faveur du progrès social."

En août 2006, l’artiste Alexandre Vogler fut accusé par les habitants de Nova Iguaçu (Rio de Janeiro, Brésil) d’avoir répandu le mal dans la ville. Son délit : avoir peint à la chaux l’image d’un trident sur les flancs de la Serra do Vulcao (la Montagne du Volcan), juste derrière le Belvédère de la Croix. Cette œuvre était une commande publique.

Lindberg Farias, le maire de l’époque, déclara cependant que la municipalité n’était aucunement responsable du problème : “Quand j’ai su qu’il avait dessiné un trident, j’ai immédiatement ordonné qu’on l’efface. Il avait proposé d’écrire : « I love Nova Iguaçu ». Mais il a fini par mettre là ce symbole qui est un affront à la croix. Depuis que je suis enfant, j’ai toujours vu la figure du diable avec un trident à la main. Nous vivons dans une cité de Dieu.

Une semaine après, une pluie torrentielle s’abattit sur l’État et effaça l’image diabolique.

Avec la série des Expériences, F. de Carvalho met en pratique dans l’espace public la validité de différentes « théories » liées au phénomène de psychologie de masse, sous l’œil de la presse toujours préalablement convoquée. Ainsi pour Experiência no.3 (1956), il interroge les conventions réglant les manières d’agir et la perception « homme - femme » en portant un « nouveau look » de son invention créé pour les hommes d’affaires des métropoles tropicales : chemisette à manches courtes bouffantes, jupe et sandales. Dans les rues de Sao Paulo où il arbore cet ensemble, censé remplacer le costume classique qu’il juge anti-hygiénique, il créé le scandale. Pour Experiência no.2 (1931), F. de Carvalho remonte à contre-courant, et sans avoir ôté son chapeau, une procession du Corpus Christi, provoquant l’ire des croyants. Lorsqu’ils se lancent à sa poursuite aux cris de « Lynchez-le ! Lynchez-le ! », il est sauvé par l’intervention de la police.

La procession qui s’était formée se mit lentement en marche au son d’un cantique sans rythme. Des masses de gens, têtes nues, assistaient au passage de l’événement, ravis, saturés de bonté et d’autosatisfaction.

Je pris aussitôt la résolution de passer en revue le cortège en gardant mon chapeau sur la tête et en allant dans la direction opposée à celle qu’il prenait pour mieux observer l’effet de mon acte impie sur les physionomies des croyants. Ma taille, au dessus de la normale, me rendait plus visible, ce qui soulignait mon arrogance et me facilitait la tâche d’attirer l’attention. Au début, l’on me regarda avec étonnement.

J’entrepris immédiatement une série de flirts, choisissant, entre autres, deux jolies brunes, deux jolies blondes et deux laides de chaque type.

Lors de cette lecture, j'ai trouvé réjouissantes la pluie torrentielle qui a effacé l'image diabolique et la poursuite du blasphémateur par la foule.

Avec l'argent des contribuables (plus de 1 200 000 euros par an), le Frac Lorraine tente de faire l'apologie de ces blasphèmes et attaque de façon scandaleuse la religion catholique.

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Commentaire écrit le dimanche 31 octobre 2010 à 13:07:13 (lien) Philippe à Blabla, c'est Roger Tirlicien, communiste, Conseiller Régional, Maire adjoint de Moyeuvre-Grande.

Commentaire écrit le dimanche 31 octobre 2010 à 06:15:47 (lien) BLABLA C'est énorme 1 200 000 euros/an ? Mais où avez vous vue ces chiffres ? Si tel est le cas, c'est énorme... vraiment énorme... bizarre, les administrations disent qu'elles n'ont plus d'argent : Mort de rire !!!!!!!!!!!!!!!!!! Qu'elle folie. Question : qui est le Président du FRAC Lorraine ?

...et un pot bien fleuri

Bébé qui pleure

NB4

Passages

Gardes suisses

Rue Mazelle insupportable

Centre hospitalier régional de Metz-Thionville

L'art subventionné se veut, en plus, commercial.

La nouvelle religion du foot et du fric :

"Un nuage de fumée dense s'élève vers les cieux, portée par les chants d'une foule adoratrice. Cette image fait incontestablement référence aux rites religieux d'une messe, l'encensoir portant les prières ferventes des croyants vers Dieu. Le temps d'un instant The Plug nous plonge dans le monde des fidèles chrétiens. La vidéo renverse la lecture en montrant un feu de Bengale, fumigène utilisé lors de matchs de football pour plonger les gradins dans une épaisse fumée écarlate, tenu à bout de bras et se consommant entièrement. L'artiste crée la confusion, mêlant encensoirs aux odeurs sacrées à des images issues du monde du football et plus précisément de ses fervents adorateurs. Plus qu'un sport, le football s'est élevé au rang de religion pour ces dévots qui ont investi les cathédrales du sport que sont aujourd'hui les stades de football."

Kevin Muhlen Directeur artistique, Casino Luxembourg — Forum d'Art Contemporain.

Sur le site internet de Faux Mouvement et avec notre argent, "l'oeuvre" Hooligans Pilgrimage commentée par Kevin Muhlen cité plus haut :

En vitrine de Faux Mouvement, et avec notre argent, une autre "oeuvre" dont l'artiste a son nom dans les commentaires :

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Commentaire écrit le samedi 7 mai 2011 à 10:47:44 (lien) Philippe à Faux Mouvement : pour vous être agréable, j'ai ajouté un visuel correspondant au texte, ainsi il vous sera plus facile de vous repérer.

Commentaire écrit le mardi 23 novembre 2010 à 05:51:06 (lien) Faux Mouvement Il est parfois fort utile de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler... et de vérifier ses sources avant de publier des articles avec tant d'amalgames et de confusions...Merci d'y penser la prochaine fois ! L'équipe de Faux Mouvement

Commentaire écrit le samedi 6 novembre 2010 à 13:42:02 (lien) the plug article sans intérêt.....il n y a aucun rapport entre le visuel (pieces de Dominique Cervantes), l\'article sur une exposition qui se trouve a Forbach et une image de la vitrine de faux-mouvement avec une oeuvre qui n est pas de moi, pour une expo dont le texte renvoi a une expo qui n\'est pas dans ce lieu.... article vraiment mauvais...et qui n\'avance à rien! the plug

Il n'y a pas que des bébés qui pleurent à Metz.

Façades de la nouvelle ville

Belles façades ensoleillées aujourd'hui place Saint-Martin :

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Commentaire écrit le mardi 26 octobre 2010 à 16:10:22 (lien) Philippe à Blabla et messine, c'est tout simplement une référence à un article précédent pour montrer que l'attractivité de Metz n'est pas renforcée par sa communication, mais par la mise en valeur de son patrimoine, de sa situation.

Commentaire écrit le lundi 25 octobre 2010 à 16:00:46 (lien) BLABLA Messine : votre mentor a fait une blague ou boutade pour les intimes. Blague qui ne saura pas comprise pas le commun des mortels ou sauf par notre chef de meute, Ouly. Bon, Messine, je commence à m'impatienter car je attend toujours une photos de vous en mayo de bain et ce, depuis juillet! Enfin au moins en photos pour vous rattraper, car vue ce froid... encore que nos voisins éloigner de Suède ou de Russie se jette bien dans l'eau glacé en pleine hivers sans maillot de bain !!! HEIN ?

Commentaire écrit le dimanche 24 octobre 2010 à 15:29:51 (lien) messine Moi je penche pour la gargouille pleureuse :-) Non, sincèrement, je n'ai pas tout compris non plus... mais je ne suis guère perspicace ce soir...

Commentaire écrit le dimanche 24 octobre 2010 à 14:05:22 (lien) BLABLA Je ne comprend pas... Mais qui d'autres pleurent et pourquoi, sur quoi ou qui pleureur ? La façade de l'église, les gargouille, le trotoir, le ciel ??? Ché pas moi !!! MAIS Où EST DONC ORNICAR EUH NON OULYYYYYYYY !!!!! *TU VIENS MAINTENANT BORDEL !!!! *(J'imagine sa Femme, lors de l'appel du souper) :)

Voitures bonnes à marier

Sortie des tacots

La Renault 12 était ma première voiture

Quelques découvertes parfois dans les rues de Metz :

Publicité inutile mais coûteuse

La Renault 12 était ma première voiture

Quelle horreur cette affiche !

800 000 euros la campagne de communication pour faire venir des cadres dynamiques ou chefs d'entreprise à Metz, c'est très cher !

Je doute des résultats, et je suis même inquiet en raison de l'image négative que donne ce bébé.

Vous souvenez-vous de l'image de la poire qui a terni la carrière de la Renault 14 ?

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Commentaire écrit le mardi 26 octobre 2010 à 16:12:33 (lien) Philippe à messine, et ces augmentations drastiques de la fiscalité locale ne vont pas dans le sens d'une attractivité accrue !

Commentaire écrit le dimanche 24 octobre 2010 à 15:27:21 (lien) messine J'ai vu cette pub (celle pour Metz, avec le bébé! Celle pour la poire, je ne me souviens plus, j'étais trop petite) dans le magazine Challenges, et j'ai cru rêver... Vous avez vu aussi celle où deux personnes s'écharpent parce que l'une a décroché le poste à Metz au détriment de l'autre? Il me semble que pour 800 000 euros, il y avait d'autres choses à faire!! A part ça, les messins peuvent payer 130 euros de plus pour la taxe foncière (c'est mon cas)!! messine bien énervée ce soir!

Un panneau d'information a été ajouté au sujet des travaux de restauration du clocher de l'église Saint-Martin :

Ou aussi : "La maison de la Banane".

Eglise Saint-Martin

Etonnant mais pas si mal

Article scientifique

Hôtel des Perpignant

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Commentaire écrit le vendredi 15 octobre 2010 à 14:39:38 (lien) Philippe à Blabla Merci :-)

Commentaire écrit le vendredi 15 octobre 2010 à 05:39:54 (lien) BLABLA http://www.laloute.net/2010/07/laissez-moi-manger-ma-banane-tout-nu-sur-la-plage/

Nuit blanche n° 2 en 2009

Nuit blanche n° 4 en 2011

Profanation d'octobre 2010

Cour du Tribunal : "art vidéo".

"Moment rare et intense" à la piscine du Luxembourg :

Basilique saint Vincent : tant de pèlerinages, de pénitences et de prières pour arriver à ça ?

Les amis de la Basilique saint Vincent de Metz <-- désormais censuré !

Cloître "déstructuré" de l'abbaye saint Clément devenue Hôtel de Région :

Chapelle de l'Hôtel de Région devenue cinéma où des plongeurs pédalent sous la mer :

Jolie cascade de gouttes devant le Préfecture :

Chaise du maître-nageur :

A la Mairie, "Mélanges et rencontres, comme autant de blasons, mixés, mêlés les uns avec les autres" en référence à "la France agitée par des débats d'identité", par Jules Julien :

Turlutte japonaise pour pêcher le calamar géant, de Vincent Carlier :

Flogos (flying logos), Snowmasters, belle entreprise américaine inventive ; ici des ancres de marine :

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Commentaire écrit le mercredi 6 octobre 2010 à 14:34:43 (lien) Philippe à Soleil J'ai tout de même fait quelques commentaires. A votre avis, par exemple concernant "l'art vidéo" dans la cour du Tribunal, suis-je dans la "louange aveugle" ou la "critique avisée" ? :-)

Commentaire écrit le mercredi 6 octobre 2010 à 03:16:40 (lien) Soleil ? Vos photos sont toujours intéressantes à regarder même si on en ignore le but réel : louange aveugle ou critique avisée de l'initiative messine. Comme beaucoup je partage l'avis que dépenser 869.000 euros pour du similili art moderne c'est jeter l'argent de nos impôts par les fenêtres donc irresponsable surtout en période de crise. Rappelons quand même que les intérets de la dette publique coutent au contribuable ... 144 millions d'euros par JOUR ! N'est-il pas insolent d'ériger n'importe quelle connerie (comme sur la 1ère photo devant le Tribunal...) devant des monuments et statues historiques sans prendre au minimum la précaution de ne pas entacher leur vision directe par le public ?

Commentaire écrit le lundi 4 octobre 2010 à 10:59:23 (lien) BLABLA Génial, quel Art ! J'adore .... Super .... Magnifique .... Personne n'arrivent à la cheville de l'Art Messin ! Le meilleur d'Europe ! The Best of Art. Magnifique respect de ceux qui ont Mac Donalisé dans la Basilique ! Heineken fallait vraiment y penser ! Belle performance avec ces frites déchiqueté et sac poubelle dans sa belle Nef, ça c'est de l'Art de performeur, dalleurs la meilleur œuvre de la nuit Blanche ! BRAVO LA MAIRIE POUR CETTE BELLE MANIFESTATION qui concurrence sans doute avec nos ainés européen en matière de grand Arrrrrrrrrggggggggg !!!

Commentaire écrit le dimanche 3 octobre 2010 à 13:35:24 (lien) Pascale Bonsoir Philippe, Merci pour votre commentaire sur la basilique Saint-Vincent. Voici la suite : http://saintvincentmetz.wordpress.com/2010/10/02/lendemain-de-nuit-blanche-messine-a-la-basilique-saint-vincent/

Mondialisation à Metz

Tous fous du Tour

Etudiant dans ma ville

Tous ces calicots suspendus dans les rues de Metz sont une mode détestable : les slogans sont creux, ces banderoles non recyclables sont polluantes, pas seulement visuellement. 

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Commentaire écrit le samedi 25 septembre 2010 à 17:09:39 (lien) Philippe à messine Heureux de vous lire :-)

Commentaire écrit le samedi 25 septembre 2010 à 04:32:08 (lien) messine Je ne vous le fais pas dire.... en plus, au moindre coup de vent, elles s\'enroulent sur elles mêmes, et on ne voit plus rien! je vois que vous avez bien profité des journées du patrimoine, nous aussi, c\'était bien agréable de découvrir de nombreux bâtiments habituellement fermés.

Les brouillons ci-dessous sont de l'art subventionné.

Acquis par le Conseil Régional de Lorraine, avec nos impôts, en 2004 :

1983, assez représentatif de l'art moderne subventionné :

1960, les grues près de Rouen :

Zemmour et l'art(gent)

2011, par mon fils, 4 ans :

Nuit européenne des musées

Metz la riche

Hôtel de Gargan

Beau ciel sur Metz ce soir

Interview du Luxemburger Wort

Ancienne maternité Sainte-Croix convertie en logements

A la maternité Sainte Croix, statue d'Etienne-Pierre Morlanne, chirurgien et fondateur d'une congrégation de religieuses sages-femmes :

Chasuble miniature offerte à Etienne-Pierre Morlanne par sa mère :

Calculs retirés lors d'opérations :

Crâne d'un enfant prématuré de 6 mois :

Morlanne reçoit les enfants pauvres et les recommande aux soins des soeurs :

Beauté du chien