• Les articles qui suivent avaient été écrits initialement entre le 8 mars 2009 et le 22 octobre 2011.

    Ils étaient publiés à l'origine sur la plateforme MonBlogue qui a annoncé sa fermeture un peu avant le 22 octobre 2011 :

    AVIS IMPORTANT: Nous tenons à vous informer que la plateforme de blogues MONBLOGUE.COM va fermer ses portes à compter du 19 Décembre 2011. Toute l'équipe de Branchez-vous remercie chaleureusement les utilisateurs de MonBlogue de nous avoir fait confiance au cours des années.

    J'ai donc commencé la migration le 22 octobre 2011 et l'ai terminée le 4 décembre 2011.


    En parallèle, j'ai démarré un nouveau blog le 22 octobre 2011 sur :

    La vie en rose à Metz

     

    Statistiques MonBlogue (nombre de visites par mois) :

    Octobre 2011  4 432

    Septembre 2011  3 912

    Août 2011  2 186

    Juillet 2011  2 329

    Juin 2011  1 888

    Mai 2011  2 745

    Avril 2011  2 128

    Mars 2011  2 343

    Février 2011  1 527

    Janvier 2011  1 533

    Décembre 2010  1 457

    Novembre 2010  1 251

    Octobre 2010  1 423

    Septembre 2010  1 385

    Août 2010  1 356

    Juillet 2010  1 413

     


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  • Solutions locales pour un désordre global

    Agenda 21

    Etudiant dans ma ville

    Plan climat de Metz

    Bordures Mettis friables

    Construction non durable

    Ecoquartier des coteaux de la Seille

    Les pavés chinois de la place de la République populaire

    Récente réparation des pavés le long de la rigole* de la place Saint-Louis.

    * voir NB4

    "La pierre chinoise est certes 20 à 30 % moins chère mais elle est aussi de moindre qualité car beaucoup plus poreuse et elle vieillit relativement mal."

    Les Chinois, exploités par un régime communiste vénal, fabriquent et nous expédient des pavés, pendant qu'on indemnise chez nous des chômeurs qui voudraient travailler. Ce n'est pas moral, c'est anti-écologique, anti-social, c'est un système pervers qu'on nous présente comme un avantage depuis des années.

    Les pavés chinois tiennent 2-3 ans, puis il faut les changer. Quel gaspillage !

    Encore un de cassé

    Proposition : revenir à la raison, fabriquer et acheter localement.


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  • Metz Magazine #29 d'octobre 2011 page 30 :

    UNE SEULE CERTITUDE : LES MESSINS PAIERONT LA FACTURE DE CETTE DERIVE BUDGETAIRE !

    A moins que...

    Leçon 1 : ne pas payer ses dettes

    Metz demain (14 octobre 2011)

    Selon Marie-Jo Zimmermann, Conseiller Municipal d'opposition, l'augmentation des dépenses de fonctionnement de la ville de Metz est de 16 millions d'euros de 2008 à 2011, et l'augmentation des impôts et taxes est de 10 millions d'euros pendant la même période.

    Passages

    Réalité des faits

    Gros avec nos impôts

    Vous chantiez ?

    Actes de cigale, paroles de fourmi


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  • 53 chantiers à découvrir sur Travaux à Metz

    Metz en travaux (14 octobre 2011)


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  • Vous pouvez candidater

    Et si c'était votre tour ?

    Vous avez votre mot à dire

    Metz Magazine #29 d'octobre 2011 page 20 :

    "Au total, 466 citoyens ont intégré les Comités de quartier pour ce premier mandat. Véritables forces d’initiative et de proposition, ils se sont investis dans l’amélioration de leur quartier aux côtés de la municipalité.

    Après 3 ans d’exercice, le bilan est plus que positif : de nombreux projets ont été impulsés et la Ville a instauré un vrai dialogue avec ses habitants.

    (...) De manière non exhaustive, outre l’organisation de Metz’tival, le Comité de quartier du Centre-Ville s’est penché sur les problématiques de circulation liées aux contraintes urbaines."

    Article non signé

     

    1 Commentaire

    Commentaire écrit le mardi 18 octobre 2011 à 14:58:04 (lien) Yannick Le bilan est tellement positif qu'on n'arrête pas de me harceler pour "candidater" pour le renouvellement dans mon CDQ ! Apparemment c'est un FIASCO, une vraie bérésina ! Qu'ils recutent les militants PS, au moins tout ira bien...


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  • Perte du sens de l'orientation

    Ils se clonent

    Communautarisme voté à l'unanimité du Conseil Municipal

    Femmes XX à pénis et hommes XY à vulve (13 octobre 2011)

    Metz Magazine #29 d'octobre 2011 page 10

    Ne manquez pas le cycle de conférences proposé dans le cadre de la Semaine « Enfance et genre : comment le sexisme vient aux enfants ? Des stéréotypes sexistes aux conséquences sociales et sociétales », du 21 au 25 novembre à l’Université Paul Verlaine-Metz et à l’IUFM de Montigny-lès-Metz.

     

    Communiqué de presse qu'aurait pu expédier l'association Couleurs Gaies :

    Couleurs Gaies vient d’être alertée par des citoyens de Metz sur l’ordre du jour surprenant, communiqué par la revue Metz Magazine dirigée par le maire de Metz Dominique Gros, du cycle de conférences à l'Université Paul Verlaine et à l'IUFM (organisme de formation des maîtres) de Montigny-lès-Metz. Au programme : la théorie du genre !

    Couleurs Gaies s’interroge sur la pertinence d’aborder la question des ‘gender studies’ de manière totalement partisane dans un établissement public et laïque alors que ce sujet vient d’être l’objet d’une intense polémique politique au niveau national (cf. dernier communiqué de presse du Collectif LGBT de Lorraine en date du 9 septembre 2011 : http://couleurs.gaies.free.fr/PDF/cp-collectif-2011-09-11.pdf ).

    Dans un souci d’équilibre, l’association vient de demander par courrier au maire de Metz d’inviter l'aumônerie catholique du lycée Fabert à un débat contradictoire sur la question du genre. Et pour être certaine d’être entendue, ses adhérents distribueront des tracts devant l'Université Paul Verlaine et l'IUFM de Montigny-lès-Metz pendant les 5 jours de conférence.

     

    Communiqué de presse expédié par l'association Couleurs Gaies fin septembre sur le même sujet :

    Couleurs Gaies vient d’être alertée par des élèves du lycée Fabert sur l’ordre du jour surprenant, communiqué par voix d’affichage, de la réunion de rentrée de l’aumônerie catholique de l’établissement. Au programme : la théorie du genre !

    Couleurs Gaies s’interroge sur la pertinence d’aborder la question des ‘gender studies’ de manière totalement partisane dans un établissement public et laïque alors que ce sujet vient d’être l’objet d’une intense polémique politique au niveau national (cf. dernier communiqué de presse du Collectif LGBT de Lorraine en date du 9 septembre 2011 : http://couleurs.gaies.free.fr/PDF/cp-collectif-2011-09-11.pdf ).

    Dans un souci d’équilibre, l’association vient de demander par courrier au chef d’établissement de l’inviter à un débat contradictoire sur la question du genre. Et pour être certaine d’être entendue, ses adhérents distribueront des tracts devant l’établissement vendredi 30 septembre, de 07h30 à 08h00.

     

    Républicain Lorrain du 1 octobre 2011 :

    Ils n’ont pas lésiné. Piqués au vif par le thème proposé par l’aumônerie catholique de Fabert pour sa réunion de rentrée — la théorie du genre — des membres de Couleurs gaies ont sorti le grand jeu de la provocation. Ils ont déboulé hier matin devant le lycée messin pour une distribution de tracs. Derrière un diable rouge, boa rose autour du cou, qui portait l’étendard arc-en-ciel de la communauté gay.

    Voilà qui n’est pas passé inaperçu. C’est ce que voulait le Collectif lesbien, gay, bi et transsexuel. « On voulait interpeller de manière visuelle et humoristique, et amener les jeunes à réfléchir. » En terme d’esprit critique, les lycéens ont l’air déjà bien éveillés puisque ce sont eux qui ont appris à Couleurs gaies le thème de discussion choisi par l’aumônerie.

     

    NB. il semble que le cycle de conférences bénéficie de gros moyens publics en comparaison de la conférence de l'aumônerie du lycée Fabert :

    Femmes XX à pénis et hommes XY à vulve (13 octobre 2011)

    Femmes XX à pénis et hommes XY à vulve (13 octobre 2011)

    Femmes XX à pénis et hommes XY à vulve (13 octobre 2011)

    Demandez l'programme !

    J'aimerais bien savoir combien coûtent ces conférences "partisanes" (comme le dit si bien Couleurs Gaies) ?

    A suivre...

    Homo festivus

    Marche des lesbiennes, gays, bi, trans

     

    Théorie du gender : La négation de la réalité génétique de l'être humain

    Appel aux Ministres contre l'enseignement du gender

    Association pour un Nouveau Féminisme Européen

    Genders : imposture ? Escroquerie ? Manipulation ? Supercherie ? - Père Daniel Ange - 12 octobre 2011

    Femmes XX à pénis et hommes XY à vulve (13 octobre 2011)

    Il y a en ce moment, un lobby très puissant qui travaille à imposer une nouvelle vision de la personne humaine. La vision chrétienne de l’homme ayant été renvoyée dans la sphère privée alors qu’elle inspire fondamentalement l’humanisme occidental, un vide est apparu. Le lobby de la théorie du Gender contredit la droite raison et s’y opposer c’est défendre non seulement la loi naturelle mais aussi raison.

    L’origine de la théorie du Gender

    Les études du Genre sont nées dans les universités américaines où des chercheurs réfléchissaient à l’égalité homme femme en soutenant le mouvement féministe. Cette réflexion portait sur la domination masculine dans la société occidentale. Dans ce cadre, c’est Judith Butler (1), qui donne la définition classique du Gender, fondée sur le sexe biologique. Elle parle d’une construction sociale et culturelle au service de la domination de l’homme sur la femme. D’où sa proposition : s’affranchir de la nature pour sortir de l’oppression. Pour cela il est nécessaire de déconstruire le genre, la famille et la reproduction !

    Les Gender studies sont apparues dans le débat international lors de la Conférence des Nations-Unies à Pékin sur la femme en 1995. Les mouvements féministes radicaux en ont fait le cadre porteur d’une société nouvelle où les comportements sexuels seraient enfin débarrassés de leurs « archaïsmes moraux et religieux », c'est-à-dire chrétiens, dans les pays où les droits de l’homme sont communément admis comme fondamentaux.

    Depuis 1995, ces études font l’objet de recherches de plus en plus nombreuses et l'Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Paris dispense la théorie du Gender à ses élèves : un cours obligatoire qui n’est pas de la sociologie, ni de la philosophie, ni de l’étude politique au sens strict.

    Le contenu des théories du Gender

    En fait, il y a dans l’intention de ceux qui réfléchissent à la théorie du Gender, la volonté de détruire le modèle social et anthropologique occidental pour le reconstruire tout autrement, au nom du progrès et de l’égalité. Cette négation du masculin et du féminin entraîne une nouvelle vision de l’humain, et donc une nouvelle norme de ce que l’on a le droit de faire ou de ne pas faire.

    Les Gender studies affirment que le sexe biologique ne suffit pas à lui-même à déterminer le genre masculin ou féminin d’un individu qui est une construction sociale et culturelle. On ne peut pas choisir son sexe biologique mais on peut choisir son genre : il s’agit en fait de remplacer l’identité sexuelle (homme ou femme) par des orientations sexuelles variées et objets de choix par chaque individu.

    Concrètement, c’est par conséquent le rejet de la famille, parce qu’elle impose dans sa forme la plus courante le modèle hétérosexuel dans lequel la femme est prétendument maintenue en esclavage.

    Enfin, c’est la reproduction qui doit également être déconstruite pour être repensée. L’activité sexuelle chez l’homme n’est pas instinctive mais conditionnée par la recherche du plaisir. Contrairement aux autres animaux, les hommes sont libres des contraintes hormonales et la pulsion sexuelle n’a pour but que la maximalisation du plaisir. Aussi, le genre étant l’objet d’un choix individuel, le modèle hétérosexuel n’étant qu’une option parmi d’autres et la sexualité n’ayant comme seule loi la maximalisation du plaisir, la sexualité et la reproduction sont donc deux réalités qui n’ont pour ainsi dire rien à voir l’une avec l’autre. L’enfant ne se reçoit pas, il se désire, il se programme. Et pour sortir des contraintes qui unissent sexualité et reproduction, le recours à la science et à la technique est toujours légitime puisque le fruit de l’évolution.

    Ainsi, la théorie du Gender déconstruit l’identité sexuelle : il n'y a plus de différence, ni d'inégalité.

    On peut reconnaître un intérêt à ces études de genre cependant : elles posent la question de l’intégration sociale des personnes qui ont un comportement « hors » norme, quand bien même on considérerait la norme comme le comportement de la majorité indépendamment de tout jugement moral.

    Mais ces théories sont dangereuses, car elles conduisent à dissocier le comportement sexuel de la reproduction. En mettant en avant l’idée de remplacer l’identité sexuelle par les orientations sexuelles variées et choisies par chaque individu, chacun s’invente son genre qui peut évoluer au cours de la vie et ainsi il n’y a plus de barrière entre ce qui est permis et ce qui est interdit : « Ce que je choisis est permis, puisque je l’ai choisi ».

    Par ailleurs, si on cherche à déstructurer la conception de la personne humaine et la normativité de son comportement, on crée une société plus violente, en permettant la loi du plus fort. Dans une société sans norme et sans loi, le petit n’est plus protégé, le plus faible souffre et puis disparait. C’est le fondement de la théorie de l’évolution. Mais on peut se demander si et en quoi cela constitue un progrès !

    Alors, quelles réponses donner à ces courants d’idées ?

    D’abord il faut poser clairement que ces théories se prétendent scientifiques mais ne le sont pas.

    Ensuite, il nous faut nous réapproprier la vision chrétienne de la personne humaine selon la Révélation : « homme et femme, Il les créa » (Gn1,27). La tradition chrétienne décline cette réalité en se fondant sur le livre de la Genèse lu à la lumière de la révélation du Fils de Dieu incarné depuis des siècles jusqu’à la théologie du corps de Jean-Paul II. Pour les chrétiens, l’amour d’un homme et d’une femme est le reflet de l’amour de Dieu. Dans la création, la différence sexuelle est évoquée pour l’homme et la femme, non pour les animaux. Donc celle-ci n’est pas le propre de l’animalité, mais au contraire, l’expression de la spécificité de notre vocation : l’homme fait à l’image de Dieu est appelé à aimer comme lui.

    Il faut également agir en matière d’éducation des jeunes : lorsque la société est dans le déni de la différence sexuelle , elle court le risque de priver de repères les enfants. Donc se mobiliser autour de projets comme les ateliers d’éducation affective et sexuelle proposés par le CLER et les AFC, et les parcours Teen Star.

    Mener une action politique : en soutenant différents mouvements comme la Fondation Jérôme Lejeune, en signant la pétition lancée par les AFC ou le collectif « L’école déboussolée » qui interpellent le ministre de l’Education nationale sur l’ambiguité de ses consignes concernant les programmes scolaires. La participation active des AFC dans les UDAF amène d’autres mouvements familiaux à partager nos réflexions et augmente nos possibilités d’écoute.

    Et enfin et surtout, prier, car les forces des Ténèbres sont à l’œuvre ! En effet, la théorie du Genre veut s’affranchir des lois, y compris celle qui s’appuie sur les évidences biologiques : en se libérant de toute contrainte, en exprimant cette volonté d’auto suffisance, de toute puissance et d’orgueil, on en arrive à se prendre pour Dieu ! Et c’est cela le piège tendu par le démon à Adam et Eve dans le jardin : « vous serez comme des dieux ! » Gn3,5.

    (1) : Initiatrice de ce mouvement, elle a publié aux Etats-Unis en 1990 l’ouvrage "Gender Trouble : Feminism and the subversion of Identity” qui demeure le modèle incontournable des programmes universitaires anglo-saxons sur la question.

     

    1 Commentaire

    Commentaire écrit le vendredi 14 octobre 2011 à 08:29:59 (lien) XG Excellent !


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  • Piste cyclable entre Metz et Saint-Julien

    Jean-Marie Rausch était obstinément hermétique au vélo et au stationnement résidentiel.


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  • "Bilan plus que positif"

    Vous pouvez candidater (8 octobre 2011)

    SERVICE CITOYENNETE

    Metz, le 5 octobre 2011

     

    Mesdames, Messieurs,

    Après un premier mandat les Comités de Quartier se renouvellent ! La campagne est lancée depuis le 12 septembre, date de la conférence de presse et du tirage au sort sur les listes électorales.

    Vous pouvez candidater (*) à nouveau en vous inscrivant en ligne sur le site de la Ville de Metz : www.metz.fr ou en retournant le bulletin d’inscription joint à l’adresse : Service Citoyenneté et Démocratie Participative, Hôtel de Ville BP 21025 – 57036 METZ Cedex 1

    N’hésitez pas à participer aux côtés des services et élus aux nombreuses animations citoyennes organisées dans les quartiers pour faire part de votre expérience au sein de l’instance participative. Les dates et lieux des animations sont les suivantes :

    Dimanche 11 septembre de 12h30 à 15h30 : Fête de quartier de la Grange-aux-Bois

    Mercredi 21 septembre de 9h à 12h : Marché du Sablon

    Jeudi 6 octobre de 14h30 à 16h30 : Place Monpeurt, quartier Magny

    Jeudi 13 octobre de 16h à 18h : Parking du supermarché MATCH, quartier Devant les Ponts

    Vendredi 14 octobre de 10h à 12h : Marché de Borny

    Mardi 18 octobre de 16h à 18h : Place d'Alsace Lorraine, quartier Bellecroix

    Mercredi 19 octobre de 15h à 17h : Côte Tivoli, quartier Queuleu

    Vendredi 21 octobre de 17h à 19h : Parvis de la gare

    Mardi 25 octobre de 14h30 à 16h30 : Tours des Marronniers aux Hauts de Vallières

    Vendredi 28 octobre de 16h à 18h : Square Amos, quartier Nouvelle Ville

    Jeudi 3 novembre de 16h à 18h : Place de la Falogne, quartier Grange-aux-Bois

    Samedi 2 novembre de 10h à 12h : Marché du Centre-Ville

    Mercredi 9 novembre de 10h30 à 12h30 : Devant l'Agora, quartier Patrotte

     

    Aussi, vous trouverez ci-joint, le planning des Réunions Plénières, qui seront l’occasion de dresser le bilan du mandat écoulé et d’installer les nouveaux Comités de Quartiers.

     

    Je vous prie d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’assurance de ma considération distinguée.

     

    Patricia Sallusti

    Adjointe Déléguée à la Citoyenneté la Démocratie Participative, aux Mairies de Quartiers et au Conseil Economique et Social Local

    (*) postuler


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  • Metz'tival

    Ma démocratie

    Droit aux racines

    Conférence pour la promotion du droit de vote des étrangers :

    Conférence pour la promotion du droit de vote des étrangers (8 octobre 2011)

    La mère de Vincent Rebérioux, Madeleine Rebérioux, est entrée en 1946 au parti communiste dont elle a été exclue en 1969 ; elle était engagée contre le colonialisme pendant la guerre d'Algérie ; elle est entrée à la Ligue des Droits de l'Homme en 1964 et l'a présidée de 1991 à 1995.

    Tous les membres des Comités de quartier sont invités à cette conférence.

    Droit de vote des étrangers : et si c’était vraiment «Oui» ?

    Proposition : pourrions-nous également, en tant que membres des Comités de quartier, recevoir des invitations à la fête de l'Huma et des bulletins d'adhésion à la Ligue des Droits de l'Homme ainsi qu'au parti socialiste ?

    "J'ai été longtemps acquis à l'idée d'octroyer le droit de vote aux élections locales aux étrangers non communautaires. (...) J'ai changé d'avis (...) Il n'est pas du tout certain que cela favoriserait leur intégration, mais au contraire cela risque d'encourager des votes ethniques ou communautaires". Jean-Pierre Chevènement, Sortir la France de l'impasse, Fayard. Pour lui, il ne faut pas dissocier citoyenneté et nationalité.

    Camping interdit jardin Bernard-Marie Koltès

    Autre exemple de manipulation (transmis par "Joseph" dans son commentaire de l'article La ville de Metz vue de la porte Mazel) : en réalité, cette présentation tendancieuse met en évidence les risques liés au terrorisme, qui sont d'autant plus élevés que les frontières ne sont pas surveillées. Que propose la Ligue des Droits de l'Homme pour réduire ce risque ?

     

    Pétition contre le droit de vote aux étrangers

    Quelques heures seulement après avoir remporté la majorité au sénat, les socialistes annonçaient que leur première loi consisterait à accorder le droit de vote aux étrangers.

    Cela risque, malheureusement, d’être chose faite dès le 8 décembre prochain !

    A cette date, les sénateurs se prononceront sur une proposition de loi constitutionnelle, visant à accorder le droit de vote et d’éligibilité aux étrangers non-ressortissants de l’Union européenne résidant en France (n° 329, 1999-2000).

    Refusons le cynisme socialiste

    Avec la crise qui frappe la France, n’y avait-il pas d’autres priorités ? Était-ce réellement le débat le plus urgent ? Pour les socialistes, il est évident que cela l’était ! Très cyniquement, ils ont fait leurs petits calculs. En juin dernier, la fondation Terra nova, organisation très proche du PS, publiait une note établissant la stratégie électorale de la gauche pour les prochaines élections. On pouvait y lire, notamment :

    " La France de la diversité est presque intégralement à gauche. L’auto-positionnement des individus révèle un alignement des Français d’origine immigrée à gauche – de l’ordre de 80-20. On retrouve des scores de cette ampleur dans les bureaux de vote des quartiers populaires."

    Les socialistes ont poussé encore plus loin cette analyse en établissant une véritable cartographie électorale en fonction de la nationalité des étrangers. Toujours dans cette note, on peut lire que le vote en faveur de la gauche

    "se vérifie quelle que soit l’origine nationale. Il est le plus massif pour les Français d’origine africaine (tant sub-saharienne que maghrébine) et se renforce nettement pour la seconde génération par rapport à la première (de l’ordre de 10 points). La seule exception est la première génération d’origine asiatique, qui reste polarisée à droite par anticommunisme."

    Dès lors, on comprend mieux la détermination des socialistes qui ,en plus de proposer un tel texte au sénat, ont fait de cette proposition un point clé de leur projet présidentiel ! Ils espèrent ainsi se constituer une nouvelle clientèle électorale plus fidèle et plus facile à manœuvrer que l’électorat populaire qui lui a tourné le dos.

    Ne bradons pas la citoyenneté française qui s’incarne dans le droit de vote

    Malheureusement ce cynisme électoral risque de mettre à terre un des derniers fondements de notre modèle républicain. Depuis des siècles, la citoyenneté française s’incarne dans le droit de vote qui fait le lien entre la citoyenneté et la nationalité.

    Accorder le droit de vote aux étrangers serait un coup de canif de plus dans notre modèle républicain déjà bien fragile !

    Parce que nous ne pouvons pas accepter qu’un étranger qui n’a jamais souhaité devenir Français, en faisant l’effort sincère de s’intégrer, puisse, malgré tout, voter et être élu en France, nous devons nous mobiliser pour dire non au droit de vote des étrangers.

    Nous n’avons que quelques jours pour faire comprendre à la classe politique française que le droit de vote doit rester conditionné à la citoyenneté et donc à la nationalité.

    C’est pourquoi, je vous invite à signer et faire signer cette pétition contre le droit de vote des étrangers.

     

    1 Commentaire

    Commentaire écrit le dimanche 9 octobre 2011 à 04:16:57 (lien) Joseph Le Parti socialiste est prêt à tout pour d'octroyer de nouveaux électeurs en nombre suffisant pour "truquer" les élections en sa faveur : Les partisans de Ségolène n'ont-ils pas reproché à Mme Aubry dans leur livre " Au PS on sait bourrer les urnes..." Si le droit de vote aux étrangers permait de " faire progresser l’intégration..." pourquoi n'exige t'on pas d'abord la réciprocité avec les pays d'origine de ces étrangers ? Pourquoi n'exige t'on pas,aussi, le droit de construire aux mêmes conditions des églises, des synagogues, des temples dans leur pays d'origine ? Le PS entend imposer aux Français "le respect des origines et des différences, et la dynamique de l’installation dans un endroit donné de notre pays " mais alors ne faudrait-il pas exiger d'abord le respect de la culture et des tradxitions du pays qui les accueille ?


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  • Marathon de Metz (8 octobre 2011)


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  • Vous avez votre mot à dire

    Panneaux d'expression libre (8 octobre 2011)

    1 Commentaire

    Commentaire écrit le mercredi 9 novembre 2011 à 18:31:33 (lien) aymeric magnifique cette photo!


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  • Bienheureuse Soeur Marguerite Rutan

    Marguerite Rutan, martyre de la Révolution

    Sainte Glossinde n'est plus en odeur de sainteté à la mairie

    Hôpital de Mercy

    Selon Dominique Gros, Maire de Metz et Président de l'hôpital, "le nom de Bon-Secours a une image négative car c’est un hôpital vieillissant, parfois mal aimé".

    Il est loin, l'hommage du maire de Metz à la sainte Vierge !

    On lui préfère le nom d'hôpital de Mercy ("la pitié" en anglais), nom du lieu où il va être transféré.

    Allez, je vous en donne 13 000 000 euros !

    Friche de l'ancien hôpital

    Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire (8 octobre 2011)

    Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire (8 octobre 2011)

    Secours de notre Mère du Ciel aux petits enfants.

    Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire (8 octobre 2011)

    Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire (8 octobre 2011)

    Dans la cathédrale, une statue habillée de la Vierge, en pierre du XVIème siècle, est vénérée sous le vocable de Notre Dame de Bon Secours.

    Je mets ma confiance, Vierge en votre secours ; Servez-moi de défense ; Prenez soin de mes jours ; Et quand ma dernière heure Viendra finir mon sort, Obtenez que je meure De la plus sainte mort.

    Chateaubriand, Mémoires d'Outre Tombe, 1848-1850

    Notre Dame de Bon-Secours fait pitié au Maire (8 octobre 2011)

    Image d'Epinal, XIXème siècle.

     

    Républicain Lorrain du 26 octobre 2011 :

    L’association "Hospices civils de Metz : mémoire et patrimoine" se bat pour le sauvetage et le souvenir des établissements de santé qui ont marqué l’histoire de la ville.

    Lors de sa dernière assemblée générale, elle a adopté une motion pour sauver le nom de Bon-Secours. Mémoire que l’association veut protéger : celle de l’hôpital Bon-Secours, qui va bientôt être transféré à Mercy et changer de nom. C’est le sens de cette motion votée à l’unanimité. L’association espère "une conservation du bâtiment le plus ancien de l’hôpital situé à l’angle de l’avenue du Maréchal Leclerc et de la rue Verlaine, ce bâtiment étant construit sur l’emplacement d’une nécropole des Carolingiens."

    Elle estime que le nom de Bon-Secours, "devrait être perpétué d’une manière ou d’une autre par l’apposition d’une plaque, un nom de rue ou de place."


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  • Propagande pour le droit de vote des étrangers

    La ville de Metz vue de la porte Mazel (3 octobre 2011)

    Vue de la ville de Metz depuis la porte Mazel (Sud). Au premier plan paysage avec la Seille et quelques personnages.

    Gravure à l'eau-forte d'Israël Silvestre, 1667

    Cette estampe se compose de deux grandes planches (410 x 654 chacune) destinées à être réunies. Faucheux donne l'adresse suivante : "Se vende a Paris chez Israel Siluestre rue du Mail proche la rue Montmartre àvec privilege du Roy. 1667."

    La ville de Metz vue de la porte Mazel (3 octobre 2011)La ville de Metz vue de la porte Mazel (3 octobre 2011)

    1 Commentaire

    Commentaire écrit le samedi 8 octobre 2011 à 04:19:52 (lien) Joseph Bonjour Philippe, A lire aussi : un article qui "décoiffe" ! http://www.metz2014.com/on-nous-prend-pour-des-idiots-1751 Cordialement


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  • Nuit blanche n° 4 en 2011

    Nouvelle profanation à Metz

    Vierge de l'église Saint-Maximin

    NB5

    Il n'a pas été si facile pour la ville de trouver 76 000 euros supplémentaires : 12 000 euros de la Direction régionale des affaires culturelles (ici, le pognon ne manque jamais) plus 64 000 euros des partenaires privés (Holding Metz Saint-Jacques pour 13 000 euros, Veolia et Van Hool, fabricant du Mettis, pour 10 000 euros chacun etc.).

    Concert de musique place Saint-Louis :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    La rigole* est comblée :

    * Cette rigole représente la Seille qui ne passait pourtant pas place de Change (actuelle place Saint-Louis), mais rue Haute-Seille...

    Mondialisation à Metz

    NB4 (30 septembre 2011)

    Entrée du quartier Outre-Seille, stand de la CNT (à droite ) :

    Avec la CNT et Couleurs Gaies, "bottons le cul au capital" !

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Spectacle dans l'église Saint-Maximin, la barque de Charon :

    La Barque de Charon, c'est une pièce de Théâtre. Y'aura plein de trucs dedans.

    Y'aura d'abord des textes volés à Baudelaire, à Hubert et Patrick par un clown pas très sympa, il faut le dire, mais y'aura pas que ça,

    Y'aura des larmes et des cris, du sexe aussi, normal.

    Normal dans une église : "Y'aura des larmes et des cris, du sexe aussi, normal." :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    La tour des pompiers supporte  la Nuit Blanche :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Boléro de Ravel :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Porte des Allemands :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Eglise Saint-Eucaire :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Son mobilier liturgique d'art :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Centre Saint-Jacques, ou la poésie des marchands :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Initiatives ludiques :

    Mr. GerryManders

    La Conserverie

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Cloître des Récollets :

    NB4 (30 septembre 2011)

    (Fric) - Frac :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Concerts Eglise Sainte-Ségolène, avec Jacques Mercier :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Les valeurs sûres :

    NB4 (30 septembre 2011)

    NB4 (30 septembre 2011)

    Flipper à la mairie :

    NB4 (30 septembre 2011)

    Poubelles télécommandées à la mairie :

    NB4 (30 septembre 2011)

    L'après "Nuit blanche"...., par un lecteur du blog :

    "Parti tôt ce matin pour diverses choses dont le marché, je n'ai cessé de marcher sur des débris de verre : place Saint-Louis, en Chaplerue, partout... et avenue de Lattre un mobilier urbain de pub le long du collège Barbot a un côté son verre en miettes au pied. Je n'exagère pas."

     

    Pour ma part j'ai vu dans certaines rues au petit matin tags et vomissures. La fête après minuit se transforme en beuverie, il vaut mieux éviter.

    Et l'art dans tout ça ?

     

    6 Commentaires

    Commentaire écrit le mercredi 19 octobre 2011 à 13:01:40 (lien) MULLER Général ? C'est une manifestation pour des personnes en générale... Monsieur, vous avez des questions un peut bizarre tout de même. J'ai aimé cette manifestation et les artiste en général, oui. Vous dires ce que j'ai aimé le plus ou le moins ne rime à rien nous ne sommes plus à la maternelle... Concernant la jeunesse, je parle des jeunes Artistes. Je préfère voir des jeunes Artistes (qui j'espère ont été payés...) que des ronds points ou des travaux inutiles à Metz. Il est normal de mettre la main à la poche dans l'Art de maintenant, nous sommes en France, le pays de la culture en tout genre et donc de l'Art de maintenant. Pour l'échelle de ma ville, je trouve qu'elle n'est pas si petite que cela! Si vous n'êtes pas content, vous pouvez allez ailleurs, moi j'aime ma ville. Peut être que c'est vous qui avez de la morosité et certainement pas la jeunesse. Le reste de votre commentaire vous concerne et c'est une pure observation personnelle. Pour le prix, je crois qu'il y a eu des sponsors pour cette manifestation... Pour la beuverie, allez donc en Allemagne à la fête de la Bière. Vous verrez ce qu'est une réelle beuverie. Et puis, un petit coup dans le nez ne fait de mal à personne ! Vous devriez essayer! Voulez-vous une ville morte ou un asile géant pour vieillard ? Cordialement, J.M

    Commentaire écrit le dimanche 16 octobre 2011 à 14:52:32 (lien) Philippe à Jean-Marie, merci pour ces précisions. Toutefois, vous restez encore assez général, quelles oeuvres et quels artistes vous ont plu ? Je suis d'accord avec vous que les perspectives de la jeunesse sont plutôt moroses, mais cette jeunesse mérite mieux, selon moi, qu'une manifestation coûteuse comme le nuit blanche, qui est un vaste jeu à l'échelle de la ville. La jeunesse a besoin avant tout d'une formation qui débouche sur un travail. Certes la jeunesse doit s'amuser parfois, mais est-il besoin qu'une mairie prenne en charge l'organisation de ses jeux à l'échelle d'une ville entière ? N'y-a-t-il pas d'autres priorités pour l'argent public ? Après la fête, la gueule de bois, ou bien une autre fête pour gommer la morosité et le manque de perspectives ?

    Commentaire écrit le samedi 15 octobre 2011 à 05:51:51 (lien) Muller Bonjour Monsieur, 1/Déjà un rassemblement avec des gens heureux est le plus important à retenir dans l'organisation de la nuit Blanche. 2/La logique à cette joie est que L'initiative des Artistes a été approuvé par les gens. Ils ont été appréciés, et de plus les "gens" ont pu participer à des activités et mettre aussi un pied dans l'art d’aujourd’hui. Comme quoi... la culture contemporaine est accessible même pour un vieux bougre comme moi. Mes observations et sentiments positifs rejoignent également ceux des gens. Je commerce au marché de Metz depuis 35 ans, je suis bien placé pour entendre les échos de ma ville liés à cet évènement ou d'autres sujets mettant en avant de jeunes créateurs lorrain dans le domaine des arts dont j’éprouve du respect. C'est notre jeunesse qu'il faut mettre en avant, que se soit dans la rue, dans les bâtiments ou toutes autres formes d'arts. Notre jeunesse en Lorraine est précieuse et c'est tellement difficile pour les jeunes de maintenant de percer dans un environnement politique et économique chaotique... Je regrette les années 60 et 70, la jeunesse était bien plus à l'aise qu’aujourd’hui et avait la capacité de s'affirmer dans une société bien portante économiquement. Merci à vous monsieur, de m'accepter sur votre site et d'entendre mon petit témoignage celui d'un vieux citoyen toujours en activité. Cordialement, Jean Marie.

    Commentaire écrit le dimanche 9 octobre 2011 à 02:22:29 (lien) Philippe à Jean-Marie, merci pour votre commentaire ; ça m'intéresserait de savoir ce qui vous a particulièrement plu en dehors du rassemblement des gens heureux ? Qu'est-ce qui a fait qu'ils se sont rassemblés et qu'ils ont été heureux ?

    Commentaire écrit le samedi 8 octobre 2011 à 14:54:28 (lien) Muller En tant que résident à Metz, je dois avouer que cette fête m'a bien amusé! Merci à la Mairie et aux artistes qui ont donné de leurs talents. C'est la première fois que je vois de l'art contemporain abordable et pour le peuple. J'ai beaucoup, évidemment c'est mon humble avis. J'espère que l'année prochaine nous aurons droit à une nouvelle nuit blanche car ma petite fille (qui n'avait pas école le lendemain) a beaucoup aimée cette fête. J'ai vue les gens heureux et rassemblés pendant un moment conviviale et chaleureux !!! Enfin, contrairement au commentaire de l'auteur du site "mon blogue branchez-vous" et si vous voulez bien m'excuser, je suis en complet désaccord avec l'auteur de cet article. Merci et au plaisir, Jean Marie

    Commentaire écrit le mardi 4 octobre 2011 à 04:31:10 (lien) Iphigénie Nuit-Blanche c'est surtout énormément d'argent dépensé pour 1 seule nuit : 49.000 euros officiellement mais combien en réalité en intégrant dans ce montant officiel les dépenses annexes non prises en compte telles le coût des heures consacrées par l'ensemble du personnel municipal ayant contribué sur 12 mois au montage et à la conception d'une Nuit Blanche ? Une autre question porte sur la fréquentation de Nuit Blanche en faisant la part des MESSINS et des VISITEURS NON-Messins :20.000 contribuables Messins payent pour 10% de visiteurs citoyens Messins ! Enfin, est-il approprié de réaliser Nuit-Blanche fin septrembre/début octobre pour "coller" avec Paris ? Ne serait-il pas plus approprié d'organiser Nuit-Blanche en plein été, en août par exemple, quand les touristes affluent à Metz, quand les Messins hébergent leurs amis de passage, leurs familles, et pourraient ainsi AVEC eux leur faire découvrir METZ autrement. Certes la municipalité essaye de "réveiller" METZ mais hélas l'intelligence fait défaut et la bourse n'a plus de cordon ! A force de copier Paris le thème de l'an prochain sera sans doute "le paris libertin" version Metz 2012 !


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  • 3 panneaux d'information

    NB4

    Qui prépare une teuf place Mazelle ? (29 septembre 2011)


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  • Plantations rue d'Asfeld

    5 mois après...

    Beau travail des jardiniers (29 septembre 2011)

    Beau travail des jardiniers (29 septembre 2011)


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  • Réunion du Comité de quartier du Centre ville après la réunion

    Un des membres du Comité, Gérard, a proposé une réunion pour faire le point sur la réunion du 1er septembre.

    Cette proposition a été retenue par la Mairie et la réunion a été organisée lundi 26 septembre : 8 personnes du Comité ont répondu à l'appel ; étaient également présentes deux personnes de la Mairie, Charles-Yvonnick Soucat (chef de Service), et le remplaçant de Béatrice, arrivé le jour même, venant de Lyon où il était agent de développement dans le secteur associatif.

    M. Soucat est revenu sur la fréquence des réunions du Comité : tenant compte des réactions lors de la réunion du 1er septembre, il propose une réunion toutes les 6 semaines. A suivre.

    M. Soucat estime que "l'administration n'était pas prête" à la démocratie participative. Je donne mon point de vue à ce sujet : les projets de changement demandent toujours un grand travail d'explication, ce qui a été minimisé. On ne peut pas rejeter la responsabilité sur ceux à qui on impose un changement si celui-ci n'est pas suffisamment préparé, expliqué, organisé. En quoi "l'administration" (= les services, hors celui de la citoyenneté qui a la responsabilité de faire participer les habitants de Metz aux décisions qui les concernent) a-t-elle démérité ?

    Concernant le renouvellement, je suis surpris que les membres ne soient pas remerciés individuellement de leur travail tout en les encourageant à postuler.

     

    2 Commentaires

    Commentaire écrit le jeudi 29 septembre 2011 à 16:57:41 (lien) Philippe à Léon, Dominique Gros a déclaré qu'il rêvait de démocratie participative dans sa jeunesse, mais en vieillissant il trouve (maintenant qu'il est au pouvoir) que c'est difficile à appliquer. C'est un peu la conception du partage socialiste : tout ce qui est à toi est à moi, mais ce qui est à moi reste à moi !

    Commentaire écrit le jeudi 29 septembre 2011 à 05:32:43 (lien) Léon Vous savez très bien Philippe, pour vous être vous-même exprimé sur le sujet dans ce même blog, qu'il existe un "trop grand écart" entre les intentions déclarées du Maire et la mise en pratique sur le terrain de la démocratie participative qui, en réalité, n'a que l'apparence d'un rideau de fumée pour masquer l'autisme de la municipalité envers les idées et demandes exprimées par les citoyens. Un exemple parmi d'autre et qui est très significatif : la municipalité a accepté de débattre des aménagements sécuritaires à mettre en place sur la rue au Bois à Magny. Une 1ère réunion s'est avérée peu constructive. Deux membres du CDQ ont alors réunis un collectif de riverains qui ont établi un compte-rendu détaillé, croquis à l'appui, de propositions concrètes basées sur des réalisations originales puisées dans d'autres grandes villes. Il a été demandé à Mme Sallusti de diffuser ces propositions aux membres du CDQ AVANT la tenue de la 2me réunion du CDQ. Mme SAllusti a refusé cette diffusion. Lors de la 2me réunion traitant à la sécurisation de la rue Au Bois les propositions du collectif de riverains ont été balayées d'un revers de main sans avoir été exposées concrètement aux participants. A votre avis, est-ce cela la "Démocratie participative" si chère au coeur de Dominique GROS ? C'est du foutage de gueule ! Léon ANTONI


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  • De l'arrière de la gare au Centre Pompidou

    La Halle de l'Amphithéâtre

    Metz Amphithéâtre - le Divo

    Faut-il s'inquiéter de cette "plus vaste opération urbaine en France depuis 10 ans" ?

    Selon Richard Lioger, premier adjoint au maire de Metz, "la ZAC de l'amphithéâtre possède un plan d'urbanisme et les plus grands architectes s'y bousculent. Toute architecture est discutable mais nous avons mis le maximum de garanties d'une belle réussite."

    Quartier de l'Amphithéâtre (25 septembre 2011)

    Quartier de l'Amphithéâtre (25 septembre 2011)

    Quartier de l'Amphithéâtre (25 septembre 2011)

    2 Commentaires

    Commentaire écrit le lundi 26 septembre 2011 à 15:44:46 (lien) Philippe à Noël, merci ! C'est beau l'amour 

    Commentaire écrit le lundi 26 septembre 2011 à 14:48:24 (lien) Noel Bravo Philippe, Vous êtes vraiment le plus sérieux ambassadeur de notre belle Ville de METZ ! Vous nous restituez notre Ville telle qu'elle est, telle que nous la percevons quotidiennement avec ses majestés et aussi ses imperfections, un peu comme toutes ces femmes que nous aimons tous avec passion !


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  • Le pays messin

    Pont sur la Moselle de la ligne de ceinture

    Les lignes de chemin de fer, venues de Nancy, de Verdun, de Thionville et des villes de la Sarre, rencontrent, avant de pénétrer dans son immense gare, la ligne de ceinture, qui a une importance stratégique. 1923

    Ligne de ceinture (25 septembre 2011)

    Ligne de ceinture (25 septembre 2011)

    Ligne de ceinture (25 septembre 2011)

    Ligne de ceinture (25 septembre 2011)


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  • Pays messin

    Aqueduc rive gauche

    Sur la rive droite de la Moselle, Jouy-aux-Arches conserve, et c'est de là que vient son nom, quelques arcades de l'aqueduc romain qui amenait à Metz les eaux de Gorze et qui franchissait la Moselle à cet endroit :

    Aqueduc romain (25 septembre 2011)

    Aqueduc romain (25 septembre 2011)

    Aqueduc romain (25 septembre 2011)


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  • Moselle au coeur de Metz

    68 arbres le long du canal de Jouy

    Canal de Jouy et plan d'eau aux couleurs d'automne :

    Canal de Jouy et plan d'eau (25 septembre 2011)

    Canal de Jouy et plan d'eau (25 septembre 2011)

    Canal de Jouy et plan d'eau (25 septembre 2011)

    Canal de Jouy et plan d'eau (25 septembre 2011)

    Canal de Jouy et plan d'eau (25 septembre 2011)


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  • Journées du patrimoine : c'est complet avant d'avoir commencé

    A vous la République !

    Quand on aime, on ne compte pas

    Tour de la Mutte photographiée depuis la place Royale :

    Tour de la Mutte et carrosse (25 septembre 2011)


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  • Le pays messin

    L'ombre de Fabert plane sur l'Office de Tourisme

    Square porte Serpenoise

    Ney à Paris

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Grands hommes (25 septembre 2011)

    Ney, sculpté par Charles Pêtre (Ecole des beaux-arts de Paris) en 1855.


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  • Site de la ville de Metz

    Place de Chambre (24 septembre 2011)


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  • La Lorraine indépendante, Gabriel Henriot, 1923

    Une rapide campagne en Alsace, où, à l'exception de Strasbourg, les villes ouvrirent leurs portes, sembla donner au royaume de France cette frontière du Rhin toujours désirée ; mais le sentiment national fut plus fort, en Allemagne, que les haines de partis. Les confédérés avertirent Henri II de ne pas aller plus avant et, tandis que l'armée royale revenait en arrière, en s'emparant de Montmédy, Bouillon ou Verdun, un accord se fit entre Charles-Quint et les princes, à la suite duquel l'empereur put tourner toutes ses forces contre la France.

    Metz fortifiée (19 septembre 2011)

    N° 10 : église Saint-Martin-en-Curtis

    Citadelle

    Le 17 août 1552, le duc de Guise accourait à Metz, en toute hâte, pour fortifier la ville, dont les défenses étaient insuffisantes ; il avait avec lui des commissaires de l'artillerie et "des gens experts au fait des fortifications" ; des mesures énergiques furent prises ; les faubourgs, qui gênaient la défense, furent détruits et, avec eux, l'antique basilique de saint Arnould ; les tours des édifices, qui auraient put servir de point de mire à l'artillerie, furent rasées ; enfin la campagne fut dévastée dans un rayon de plusieurs lieues et les bouches inutiles renvoyées.

    Metz fortifiée (19 septembre 2011)

    Place Saint-Martin

    Metz fortifiée (19 septembre 2011)

    Metz fortifiée (19 septembre 2011)

    Le 19 octobre 1552, l'armée impériale, commandée par le duc d'Albe, vint mettre le siège devant Metz ; un mois après, l'empereur arriva en personne ; il y eut de la mollesse, chez les Impériaux, dans la conduite des opérations ; il y en eut, chez les Français, pour secourir la place. Le duc de Guise parvint cependant à tenir jusqu'en décembre ; au fur et à mesure que l'artillerie des Impériaux ouvrait des brèches dans les murs ou ruinait des ouvrages, les assiégés élevaient en arrière de nouvelles fortifications ; malgré l'avis de Charles-Quint, le Conseil s'opposa à un assaut général et comme les pluies, le froid et les maladies décimaient les assiégeants, la retraite commença le 26 décembre. Les assiégés n'osaient croire au succès et François de Guise écrivait à son frère "Ne me chantez plus par vos lettres que l'Empereur doive desloger d'icy et tenez pour certain que, s'il ne nous trompe bien fort, tant qu'il aura la vie, il ne voudra recevoir ceste honte d'en partir avant qu'il ne voye la fin, sy les forces de nostre maistre ne l'y contraignent."

    C'était cependant la retraite ; l'Empereur partit, le 1er janvier 1553, et Guise, qui fit une sortie le 6, prétend que sur les 60.000 hommes qui étaient venus assiéger la ville, 12.000 seulement purent s'en retourner avec Charles. Dans les environs de Metz, ce n'étaient que cadavres non enterrés, blessés à l'abandon, chevaux morts, chariots, tentes et bagages, jonchant le sol. L'humanité du duc de Guise, qui fit soigner les blessés ennemis, ajoute encore à sa gloire.

    Ainsi, les trois Evêchés restaient acquis à la France ; cette conquête qu'à tant de reprises les ducs de Lorraine avaient vainement tentée, le roi de France venait de la réussir après une courte campagne. Sans doute, le but que se proposait Henri II et qu'il annonçait au Parlement, cette reprise du "royaume d'Austrasie, héritage des Francs", n'avait pas été complètement atteint ; mais la réunion des Trois Evêchés à la France laissait prévoir d'autres conquêtes dans l'Est et l'autonomie de la Lorraine semblait, dès lors, singulièrement menacée.


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  • Sainte Glossinde n'est plus en odeur de sainteté à la mairie

    Bardé de certitudes

    Colette Baudoche

    Apparition du royaume d'Austrasie (19 septembre 2011)

    La Lorraine, Gabriel Henriot, 1923

    Parmi les descendants de Clovis, ceux qui règnent sur la Lorraine possèdent toute la partie orientale de la Gaule et font de Reims leur capitale. Pendant un demi-siècle (511-561), l'histoire de notre région ne présente rien d'original, sinon la revanche des peuples occidentaux sur les germains, avec les expéditions de Thierry et de Clotaire en Thuringe et contre les Saxons ; une alliance est conclue entre les Bavarois et les Francs ; les conquêtes des fils de Clovis commencent l'histoire de l'Allemagne.

    Mais, pendant la seconde moitié du VIe siècle, 561 à 613, une femme fait de Metz la capitale des Francs de l'Est, de l'Austrasie, comme on dira au VIIe siècle ; cette femme domine toute la politique, si trouble et si tragique, de cette époque barbare, où les intrigues, les assassinats et les guerres civiles affaiblissent peu à peu la dynastie mérovingienne.

    Sigebert, montré sur le trône avec ses frères en 561, à la mort de Clotaire, avait eu pour sa part l'est de la Gaule et, comme ses prédécesseurs, avait fait de Reims sa capitale, quand il résolut de se marier avec une fille de roi, contrairement à ses frères qui ne répugnaient pas à des unions ancillaires, comme Chilpéric avec la servante Frédégonde. La cour des Wisigoths brillait alors d'un vif éclat ; ces barbares, en minorité parmi les riches populations latines su sud-ouest de la Gaule et du nord de l'Espagne, avaient prit les moeurs des vaincus et leurs rois régnaient à Tolède, avec le luxe et l'apparat des empereurs romains. Séduit par ce qu'il savait et jaloux de fonder, lui aussi, une cour brillante, Sigebert fit demander au roi Athanagilde la main d'une de ses filles, dont la beauté, la grâce et l'éducation étaient réputées : Brunehaut quitta les pays du soleil pour le rude climat de la Lorraine ; mais elle apportait avec elle le charme de la culture latine et l'éclat de la civilisation romaine ; cette jeune fille, timide et dépaysée d'abord au milieu d'une cour barbare, ne devait pas tarder à imposer sa supériorité intellectuelle et à affirmer son énergie, sa persévérance, l'habileté de sa politique, et toutes les qualités auxquelles on reconnaît les hommes d'Etat.

    Le mariage fut célébré à Metz, avec un éclat inaccoutumé, et, premier écho de la renaissance intellectuelle, le poète Fortunat fit un épithalame pompeux, en l'honneur de la "nouvelle perle mise au monde par l'Espagne"; toutes les divinités de l'Olympe venaient à la rescousse, dans les vers de cet incorrigible flatteur.

    Metz s'affirmait comme capitale quand, au cours d'une lutte fratricide, Sigebert, ayant vaincu Chilpéric, fut assassiné à l'instigation de Frédégonde. Brunehaut et ses filles furent emmenées en captivité et ce fut son fils, Childebert un enfant de cinq ans, qui devint le roi d'Austrasie et l'enjeu des factions.

    La reine Brunehaut.- Brunehaut ne se laissa pas abattre par l'adversité : elle séduisit Mérovée, le fils de Chilpéric, qui la fit évader de sa prison de Rouen et elle revint en Austrasie, au moment où l'aristocratie et le parti dévoué à la suprématie royale allaient en venir aux mains. Elle affirme de suite son autoritarisme et, pour chercher un appui à son fils, elle négocie avec Gontran, roi des Burgondes, l'entrevue de Pompierre (577), sur les bords du Mouzon, non loin de Neufchâteau. Après maintes péripéties, elle soulève le peuple contre la domination des seigneurs et est peut être l'instigatrice du meurtre de Chilpéric, assassiné en 584. De nouvelles révoltes des grands sont sévèrement réprimées : l'un d'eux, le duc Gontran-Boson, est livré à son ennemi le roi Gontran. Un autre, Magnovald, est mandé au palais de Metz ; admirablement reçu par le jeune roi Childebert, il assiste d'une fenêtre à la lutte d'une bête fauve contre une meute de chiens, spectacle alors fort à la mode ; Magnovald riait à gorge déployée, devant ce tableau bien fait pour réjouir un barbare, quand un serviteur du roi, qui se tenait derrière lui, fit sauter sa tête d'un coup de hache. Un autre, le duc de Rauching, également convoqué à Metz au moment où il fomentait la révolte, est assailli à la sortie des appartements du roi et des esclaves lui fracassent la tête "en si menus morceaux que ce ne fut plus qu'une bouillie semblable à de la cervelle".

    Un nouveau pacte, conclu à Andelot (587) avec le roi Gontran, porte le dernier coup à l'aristocratie rebelle. Deux hommes féroces, Ursion et Berthefried, qui avaient pris la tête du mouvement, sont cernés par une place forte, le "Castrum Vabrense". Le premier y est massacré sur l'autel d'une basilique consacrée à saint Martin ; le deuxième, qui avait pu s'enfuir et trouver un asile chez l'évêque de Verdun, saint Airy, est poursuivi et tué dans l'oratoire du palais épiscopal.

    Brunehaut avait remporté la victoire ; elle régnait en paix sur la Bourgogne et sur l'Autrasie, sous le nom de son fils, quand celui-ci mourut, en 596, âgé seulement de 26 ans ; l'année d'après, la rivale et l'ennemie de Brunehaut, Frédégonde, mourait à son tour, après une existence tourmentée et remplie de crimes. Il semblait que Brunehaut allait régner paisiblement, au nom de ses petits fils, surtout après la victoire de Dormelles (600), remportée sur Clotaire II qui avait tenté de conquérir l'héritage de Childebert. Mais les grands d'Austrasie tentèrent à nouveau de secouer le joug et Brunehaut dut se réfugier en Bourgogne, auprès du roi Thierry, son petit fils, qu'elle poussa à combattre son frère Théodebert, roi d'Austrasie. Après plusieurs années d'atermoiements, la guerre fratricide éclata enfin (610) ; Thierry s'avança le long de la Meuse, jusqu'à Toul dont il s'empara ; et, sous les murs de la ville, il livra une terrible bataille à son frère, qui, vaincu de nouveau à Tolbiac (612), fut fait prisonnier et mis à mort à Châlon-sur-Saône ; il laissait un jeune garçon, du nom de Mérovée : un guerrier bourguignon prit l'enfant par les pieds et, lui écrasant la tête contre un rocher, en fit jaillir la cervelle.

    La victoire de Brunehaut devait être sans lendemain ; Thierry mourut jeune, épuisé comme tous ces derniers descendants d'une race abâtardie et les seigneurs d'Austrasie, avec une inlassable énergie, se préparèrent à reprendre la lutte. A leur tête, se trouvaient deux hommes de valeur le maire du palais, Pépin et l'évêque de Metz, Arnoul, son frère, tous deux ancêtres des Carolingiens et les plus anciens membres connnus de cette royale et impériale famille. Brunehaut, qui s'avançait pour les combattre, fut trahie par les seigneurs burgonds et les Austrasiens, qui avaient appelé Clotaire II à leur secours, s'emparèrent de la vieille reine, dont on connaît l'horrible supplice.

    Fin tragique d'une destinée qui apparaît glorieuse, malgré tant de sang versé, dans cette sombre époque de guerres civiles, de brigandages, d'épidémies et de misère. C'est un des épisodes de la lutte, souvent renouvelée depuis, entre le pouvoir royal et l'aristocratie ; mais c'est aussi, de la part de la reine, une tentative d'organisation régulière d'un royaume franc : Brunehaut a essayé de percevoir régulièrement les impôts, de les répartir équitablement pour soulager les pauvres, d'instaurer une administration stable, de rendre la justice d'une façon moins sommaire et moins arbitraire, de réparer et entretenir les anciennes routes et même d'en créer des nouvelles : le souvenir de ces derniers travaux est resté dans le nom de chaussées Brunehaut ou chaussées de la reine, donné à d'anciennes voies gallo-romaines ; la légende, qui dans ces temps reculés se confond souvent avec l'histoire, lui a attribué la construction de nombreux châteaux, tel le château de Brunehaut, qui ne date pas de cette époque, sur la colline de Vaudémont.


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