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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 17:47
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Commentaire écrit le jeudi 11 août 2011 à 13:43:34 (lien) Jean-Marie Pour Metz-en Fete, c'est fou ce que la Ville de Metz sait dépenser comme pognon pour informer les Messins avec de belles affiches ! Lorsque le quartier de Magny s'est boosté pour se mettre en fête pendant 6 jours le 14 juillet dernier, les organisateurs ont dû écrire leurs affiches au stylo-feutre et les clouer sur des vieilles palettes de récupération... Eh oui, on ne mélange pas les torchons avec les services à Mmetz !
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 17:39
Il est interdit de camper dans certains jardins publics de Metz ! Sans doute est-ce permis dans les autres ?
Mais que fait avec Dominique Gros le CERCLE DE SILENCE à METZ ?
Marche Européenne des Sans Papiers et Migrants
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Commentaire écrit le vendredi 19 août 2011 à 04:50:03 (lien) Jean-Marie Ce qui me surprend un peu c'est l'affichage à cet endroit car l'interdiction de camping doit concerner l'ensemble de la Ville de Metz et de ses quartiers sans discriminations. Il existe un "Camping municipal" vers lequel les services concernés se doivent de diriger les campeurs... Me trompe-je ?
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:46
Le traitement médiatique de la libération des otages suscite une vive émotion chez les militaires
Un officier français leur a dit : "Ne retournez pas en Kapisa, c'est trop dangereux"
Le traitement médiatique de la libération, mercredi, des deux journalistes retenus en otage en Afghanistan depuis dix-huit mois suscite de vives réactions dans les milieux militaires. Elles sont de deux types, qui souvent s'ajoute l'un à l'autre. 1) La différence de traitement entre les journalistes otages et les soldats tués en Afghanistan. 2) L'imprudence supposée ou réelle des deux reporters.
1) Sur le premier point, il est incontestable que la libération d'Hervé Ghesquière et de Stéphane Taponier a donné lieu à une couverture médiatique sans commune mesure avec l'annonce de la mort de militaires français en Afghanistan. D'un côté, des heures de direct, la mise en scène télévisuelle de l'émotion des proches, les commentaires de spécialistes (dont l'auteur de ce blog...). De l'autre, une vague brève en fin de journal télévisé ou dans un bas de page des quotidiens. Qui a entendu parler de Cyrille Hugodot, mort à 24 ans au service de la France ? Qui n'a pas entendu parler de Ghesquière et Taponier ? Il est malheureusement clair, et c'est un journaliste qui l'écrit, que le poids médiatique d'un journaliste est bien supérieur à celui d'un simple parachutiste. Il n'y a pas de quoi être fier. Les tentatives, conduites par quelques anciens, pour rendre un hommage public aux soldats morts lors du retour de leur corps en France se soldent par des échecs. Ce qui renforce le malaise.
2) De nombreux militaires ne comprennent pas l'atitude des deux journalistes de France-Télévisions en particulier les risques qu'ils ont pris sur le terrain. Hervé Ghesquière a cru bon d'expliquer, juste après son retour, que "personne ne nous a rien dit. Que ce soit clair". Ce n'est malheureusement pas aussi clair et la direction de France-Télévisions n'ignore pas qu'il existe des traces écrites des avertissements lancés par l'armée française la veille même de l'enlèvement des deux journalistes, le 30 décembre 2009. Idem sur l'existence de conversations téléphoniques assez directes entre les deux reporters et un officier français (que l'on peut difficillement qualifié d'hostile à la rédaction de France 3 pour des raisons personnelles). Tout le monde sait qu'ils ont bien été avertis du danger de se rendre dans ce secteur non sécurisé, qui plus est à la recherche de contacts avec les talibans. D'ailleurs, tous les journalistes français arrivant sur le théâtre afghan le sont systématiquement.
Les journalistes ont-ils le droit de prendre de tels risques ? A chacun d'en juger, mais à condition de le faire en toute connaissance de cause. Le métier de journaliste consiste aussi à aller voir le "camp d'en face". Il n'y a là rien d'éthiquement condamnable. On ne peut reprocher à Ghésquière et Taponier d'être ce qu'ils sont : des journalistes. Ce métier comporte des risques - et ils en ont largement payé le prix. Comme nous l'écrivions déjà sur ce blog en mars dernier, à la suite d'une polémique odieuse visant les deux journalistes victimes des talibans, "des Français sont actuellement retenus en otage par des groupes terroristes islamistes et ils ont été enlevés dans le cadre de leur travail. Aucun d'entre eux n'étaient là-bas pour son propre plaisir, même si tous y sont allés volontairement. Ils n'étaient ni en voyage d'agrément, ni en séjour privé." C'est vrai pour Denis Allex, officier de la DGSE détenu en Somalie depuis presque deux ans, pour les quatre salariés d'Areva enlevés au Niger, pour les trois humanitaires kidnappés au Yemen. C'était vrai pour les deux journalistes de France 3.
Ces enlèvements coûtent fort cher aux contribuables français (des millions d'euros). Ils mobilisent d'importants moyens de l'armée, du Quai d'Orsay et de la DGSE. Ils gênent, de manière parfois importante, l'action militaire et diplomatique de la France. Tout cela est exact. Et alors ? On fait quoi ? On rapatrie illico et manu militari tous les Français présents - pour leur activité professionnelle - dans des zones à risques et on laisse tomber nos otages pour faire des économies ? On interdit aux journalistes français de se rendre en Afghanistan, sauf pour des reportages bien encadrés auprès des forces françaises ? Les citoyens de notre pays se contenteront alors de ce qu'en disent les médias américains.
En matière d'otage, la France a une pratique, aussi constante que non avouée : tout faire pour les libérer - y compris le versement de rançons importantes. C'est un choix. D'autres pays, à commencer par le Royaume-Uni, ont une autre politique : on ne cède pas, on ne discute pas. Qui, en France, serait prêt à assumer un tel choix, qui signifie la mort de compatriotes ? Et pas seulement de journalistes...
Samedi 2 Juillet 2011
Jean-Dominique Merchet
12 juin : mort du 61ème soldat français en Afghanistan, le Lieutenant Matthieu Gaudin, 37 ans
Cérémonies de la fête nationale
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Commentaire écrit le mercredi 6 juillet 2011 à 15:25:50 (lien) De Philippe : Merci Léon pour votre fidélité !
Commentaire écrit le mercredi 6 juillet 2011 à 12:39:05 (lien) Léon Une fois encore je salue votre objectivité et votre courrage d'écrire dans votre blog ce que vous ressentez et que beaucoup de Messines et de Messins partagent. Votre blog est vraiment de qualité même si parfois son contenu ne plait pas à tous... Concernant la Presse je partage l'émotion des militaires et je trouve inégal ce traitement au détriment de ceux qui versent leur sang au nom de la France. Une autre affaire encore d'actualité a démontré que la Presse est capable de raconter n'importe quoi pourvu que cela fasse recette, quitte à pencher une semaine après pour la partie adverse, sans se soucier des dégâts faits dans l'opinion par la diffusion d'infos non minutieusement vérifiée qui, au final, peuvent être considérées comme une manipulation du citoyen... A méditer !
Ajout le 4 octobre 2012 :
Thierry Dorso 1 octobre 23:59
Du lourd sur Hervé Ghesquière
Un coup de gueule aujourd'hui à propos de la sortie du livre de Hervè Ghesquière, ce fameux ex-otage d'Afghanistan qui a créé la polémique par son attitude outrancière et ses mensonges éhontés sur le fait qu'il n'avait jamais été prévenu de la dangerosité de l'endroit où il se sont aventurés avec leur caméraman. J'étais à la tête de la communication de l'armée de Terre à ce moment là, et j'avais un de mes sous-officiers féminins présent en Afghanistan. Elle avait justement réceptionné les deux journalistes à l'aéroport, de retour de leur première virée dans les zones françaises : dédaigneux, incivils, orgueilleux, odieux, indisciplinés, jamais contents tels étaient les qualificatifs qui leur avaient été attribués à ce moment là, quelques jours avant leur capture. Aujourd'hui, ce soi-disant journaliste récidive en médisant et mentant dans le récit de ses aventures dont il cherche à faire commerce après que tant de soldats ont risqué leur vie pour les libérer... Mais ce qui nous donne un peu de baume au coeur aujourd'hui, c'est que c'est une autre journaliste qui lui dise ces 4 vérités et je vous invite à lire sa prose...
Les Chroniquetamére d’Anne Moyat 26 septembre 2012
Après une longue période de prise d’otage, on observe souvent deux types de comportement chez les victimes : il y a celles qui se suicident, incapables de se réadapter au quotidien. Et puis il y a celles qui font un bouquin. Ghesquiére fait partie de la catégorie numéro 2. A la veille de la sortie de « 547 jours », récit de sa captivité, il s’explique dans une parodie d’interview réalisée par « ELLE ». J’ai toujours pensé que le journalisme était une grande chose. Dommage qu’il y ait les journalistes. Et « ELLE » de leur dérouler le tapis rouge. Que voulez vous, Grand Reporter, c’est comme pompier ou médecin urgentiste…ça fait rêver la femelle en milieu urbain. A la seule évocation du gaillard taciturne, barbe de trois jours, veste militaire et appareil photo en bandoulière, tout ce petit monde de la presse féminine se ruine un string. En oubliant de poser les vraies questions. Après tout, on ne va pas se taper dessus entre confères. "On a jamais voulu escalader l’Everest en tongs" répète Ghesquiére à l’envi, parodiant au passage l’humoriste Thomas N’ Gijol. « On a voulu prouver que toutes les routes n’étaient pas sous contrôle, contrairement à ce qu’affirmait l’armée française » Ce qui revient à dire : on va faire du hors piste pour démontrer qu’il y a risque d’avalanche. Parce qu’on est des cow-boys de l’info, nous, des cow-boys sévèrement burnés, prêts à tout pour exercer notre noble métier… Alors quoi ? T’es journaliste, mec ? Ta carte de presse est le prolongement logique de ta quéquette ? Parfait. Tu es donc censé connaître le sens des mots mieux que la moyenne nationale. « Tout est sous contrôle » ne signifie pas Il n’y a aucun danger. Ce n’est pas parce que l’incendie est circonscrit, que le périmètre est balisé et que les pompiers ont dégainé les lances qu’il faut pour autant se jeter dans les flammes. Quand l’état-major dit «Va pas là », c’est que la zone est risquée. Toi comprendre ou moi devoir traduire à toi ? « Hervé Ghesquiére déteste être considéré comme une victime » susurre « ELLE », en ouverture du papier. Grand bien lui fasse parce qu’une victime, c’est quelqu’un qui n’a pas choisi. Reste que mon confrère ne déteste pas passer pour un héros. Ce que j’aurai voulu, moi, c’est qu’« ELLE » demande à ce baroudeur d’opérette combien de militaires sont morts pour aller le chercher, lui et son caméraman. Puisque la journaliste a cru bon de trapper la question, sachez le donc, mes lapins. Ils sont 9.
9 jeunes tombés sous les balles en essayant d’exfiltrer ces deux coyotes. Un détail. Un dommage collatéral. Que les choses soient claires, une bonne fois pour toutes : un journaliste n’est pas supposé être autre chose qu’un journaliste. Ce n’est nullement un héros. 547 jours et un an plus tard, Superman est bien vivant, et il a, en plus, l’outrecuidance de traiter de lâche l’officier de presse en poste à l’époque de son enlèvement. Donc je pose la question, moi. Je la pose à mon courageux confrère… Etes vous allés serrer les mains des veuves à votre retour en France , toi et ton caméraman? Les avez vous regardées bien droit dans les yeux, vous qui parlez de courage et de lâcheté ? M’est avis que les bénéfices du bouquin n’iront pas aux familles des 9 soldats morts en silence. En silence pour que Ghesquiére continue d’ouvrir sa gueule, quand il devrait, en plus de manger sa carte de presse, observer la discrétion la plus élémentaire.
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:38
200 pages de bilan en quelques lignes
Jardin d'été place de la Comédie
On est loin de l'attractivité des massifs de fleurs de la précédente Municipalité.
Quelqu'un a mis le feu !
Partie qui n'a pas brûlé :
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Commentaire écrit le jeudi 8 septembre 2011 à 16:30:23 (lien) Philippe à Cédric : au contraire, ce jardin éphémère est moins écolo et moins beau que le parterre de fleurs. Les parterres étaient une véritable attraction pour les Messins et les visiteurs. Rien de tel avec cette "forêt" à vie courte.
Commentaire écrit le mardi 19 juillet 2011 à 04:18:25 (lien) Cédric Bonjour, c'est nettement plus écolo et plus joli qu'un parterre de fleurs que d'ailleurs plus aucunes villes ne proposent aujourd'hui !!!!
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:30
Cette zone n'est pas belle. Le Comité de quartier pourrait faire des propositions d'amélioration, non ?
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Commentaire écrit le mercredi 6 juillet 2011 à 14:28:57 (lien) Léon Hélas la situation n'est pas nouvelle et malheureusement elle n'émeut pas la municipalité qui ne fait rien pour y remédier. Que peuvent penser de METZ ces milliers de toutistes étrangers qui, venant de Paris en TGV, empruntent la passerelle et admirent le panorama environnant Pompidou. Il suffirait de si peu de choses...
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:17
Les tags de la maison de la famille
Encouragement aux tags sur les murs
Cité et diversité de Philippe Cousin, c'est tellement beau que la Mairie en a fait une affiche exposée sur la place de la République :
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:12
Pâté de viande et tourte d'épinards
Le blason de l'ancienne gare (en pierre de Jaumont) place du Roi George a été repris sur la nouvelle.
Les deux gares ont été construites par les Allemands pendant l'annexion.
Ce n'est pas une église, mais la gare de Metz !
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 16:02
Abattage rituel au square de la porte Serpenoise
Piste de vélo du pont des morts
Le fort :
Le Comité de quartier de Metz Centre était invité le 23 juin à une présentation du projet de parcours ludique à vélo dans le square du Luxembourg.
Après une introduction de Béatrice, salariée qui accompagne le Comité de quartier, Violaine, salariée animatrice du Conseil Municipal des Enfants (CME), a présenté le projet aux 6 personnes présentes du Comité.
55 enfants des écoles publiques et privées de Metz, en classe de CM1, ont été élus en octobre 2010 par leurs camarades, pour 2 ans, avec l'objectif de mener 2 projets, tout en s'initiant au fonctionnement de la Municipalité. Le CME comprend 4 commissions, dont le commission Sports et Loisirs qui est à l'origine de ce projet. Le lieu de mise en oeuvre devrait être le square du Luxembourg, en profitant ainsi des travaux prévus de réaménagement et du budget de 5 à 10 000 euros demandé le 25 mai.
Les enfants de la Commission sont allés sur place le mercredi 15 juin définir et positionner les équipements.
NB. Des fournisseurs d'équipements existent, voir par exemple ce qui a été fait par Ludik Park à Betheny, près de Reims, Nancy, Friesen (Sud de Mulhouse).
2 circuits sont proposés :
le premier pour les enfants de moins de 8 ans, avec 5 ateliers (slalom, bosses, gué, circuit en 8, parking et pompe à essence) sur l'allée principale devant le fortin ;
le deuxième pour les enfants de 8-12 ans, sur l'arrière du fortin, avec les 5 ateliers suivants : slalom sous portiques, bosses, pont à bascule, équilibre, pont.
Quelques remarques, propositions, commentaires des membres du Comité de quartier de Metz Centre :
- le square de la porte Serpenoise pourrait être aménagé également, c'est là que les enfants passaient leur diplôme de prévention routière autrefois (de nos jours c'est au Bon Pasteur à Borny) :
- les bosses le long de l'allée qui mène au centre Pompidou sont appréciées des enfants à vélo :
Jeux artistiques pour enfants au Centre Pompidou
La date du prochain Conseil Municipal des Enfants, en séance publique (donc ouverte à tous) n'est pas encore fixée, ce sera un mercredi de 14 à 16 heures. A suivre...
Autre exemple, Parc du Grand Patural à Longeville-lès-Metz :
Autre exemple, près de la patinoire, promenade Hildegarde :
En fait, il y a aussi beaucoup de vélos.
Autre exemple qui vient de Suisse et est repris au Luxembourg : le pumptrack
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 15:56
Cérémonies de la fête nationale
L'arrivée du 3ème régiment de Hussards est fêtée à Metz, en présence d'autres régiments de la brigade franco-allemande :
110ème RI
3ème RH
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 15:44
Propagande pour le droit de vote des étrangers
"C’est la fête des couleurs, celles de la peau et des mélanges des cultures."
Place saint Louis aujourd'hui,
leçon 1 - ne pas payer ses dettes :
leçon 2 - promouvoir le communautarisme :
leçon 3 - soutenir l'association "Familles de France", la mal nommée, qui a également invité "SOS Racisme", satellite du parti socialiste et traînant de nombreuses casseroles !
Familles de France, je vous hais !
Retour sur la leçon 2, avec Jusqu'où va-t-on descendre ? Abécédaire de la bêtise ambiante 2003, d'Alain Soral, cité sur Internet :
Le gay, cet autre pédé issu des métiers de la communication et du tertiaire qui tente depuis les années 80 de nous faire prendre l'homosexualité pour un type standard avec son look, sa culture et son vote. Tapettocentrisme arrogant et naïf (à la Gérard Lefort) souvent désavoué par les catégories précédentes, où :
- une sexualité soumise au modèle américain de la consommation de masse (donc ni transgressive ni subversive et très éloignée de l'idéal démocratique grec) et
- une culture de second ordre (comme tout art militant)
sont mises au service d'une social démocratie néolibérale toujours habile à utiliser de pseudo-catégories (pédés, lesbiennes, femmes, jeunes, immigrés, handicapés) pour masquer les vraies catégories d'où naissent les inégalités sociales qu'elle contribue à aggraver.
http://www.wmaker.net/eschaton/Feminisme-et-mouvement-gay_a181.html
Le prestige actuel des gays est bâti tout entier sur un sophisme: "Qu'il soit réactionnaire de persécuter les pédés n'implique pas qu'il est progressiste de se faire enculer." D'ailleurs gay n'est pas un synonyme d'homosexuel. Un nouveau terme n'apparaît jamais pas hasard, il correspond toujours à une nouveauté ; en l'occurence pour le gay, cette frange homosexuelle de la nouvelle bourgeoisie du commerce et des services qui finit, entre autres, de virer du nord-est de Paris les quelques pauvres que Chirac y avait laissés.
http://oulala.centerblog.net/77-la-gaypride-une-tripote
Une catégorie sociale dont le pseudo-progressisme sexuel masque la fonction réactionnaire. Prescripteur soi-disant apolitique des nouvelles attitudes de consommation, chouchous du fisc et du pouvoir, le gay n'a plus rien à voir avec la folle libertaire qui mettait l'ambiance dans les années 70 (genre Jenny Bel'air et les Gazolines…). A croire que le sida (comme jadis le stalinisme en URSS) a fini par tuer les aventuriers, les rigolos, les sympathiques du mouvement, ne laissant debout que les militants, les revanchards, les emmerdeurs (genre Act Up) pour ajouter encore de la tristesse à la crise. J’ai connu un temps – un temps qui s’est terminé au milieu des années 80 avec l’explosion du sida et les premiers pauvres – où les homosexuels incarnaient effectivement l’art, la subversion, la fête ; où des icônes comme Pasolini, Fassbinder, Helmut Berger étaient sur le plan humain comme sur le plan de l’esprit, tout le contraire des Jean-Paul Gaultier, Ruquier et autres Steevy actuels, rois du petit commerce et flics zélés de la pensée dominante. Quel homosexuel lucide, quelle folle un peu honnête oserait nier que si Jean Genet revenait aujourd’hui il cracherait à la gueule et pisserait au cul de ces bourgeois proprets, si fiers de faire leur courses en couple et duffle-coat dans les fromageries du Marais ?
http://paturage.wordpress.com/2009/12/10/le-«-kiss-in-»-une-operation-pour-alimenter-lhomophobie/
Ah ! le regard vide et satisfait du gay qui a trouvé le sens de la vie dans l'outing : fier qu'on sache qu'il est fier de se faire enculer ! Admirable tour de force : avoir su hisser son exigence de conscience et d'universel au niveau de son trou du cul, et nous obliger à nous extasier !
http://fr.narkive.com/2003/12/16/1723207-gay-lesbienne-eamp-macho-soral.html
Si les gays continuent à se multiplier, ils risquent de mettre en danger la survie même du monde occidental, à moins bien sûr, qu'on les laisse adopter des enfants.
C'est peut être ça la nouvelle division internationale du travail : le tiers monde fait les gosses et nos gays les adoptent.
Comme ça on va bientôt donner dans l'élevage des pauvres.
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 15:32
Etat de la démocratie participative à Metz
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Commentaire écrit le dimanche 19 juin 2011 à 10:41:16 (lien) Dany En effet la démocratie participative à Strasbourg confirme son dynamisme et compte à présent plusieurs longueurs d'avance sur Metz... Pourtant ne lit-on pas sur le blog municipal PS-Verts que "Metz vient de décrocher, face à Lille, l'organisation des Rencontres nationales de la démocratie locale organisées par l'ADELS, l'Association pour la démocratie et l'éducation locale et sociale. Après octobre 2011, c'est vers novembre 2012 que les regards devraient se tourner. Une excellente nouvelle pour Metz et la preuve de sa compétence en la matière. Patricia SALLUSTI peut avoir le sourire. Le maire, aussi." Il semble, à l'expérience que ce soit le grand écart entre la méthode Coué du virtuel et la réalité vécu quotidiennement par nos CDQ : Où est la juste réalité ?
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 15:19
Saint Martin aux Champs côté jardin
Beau clocher de l'église Saint-Martin
14ème siècle :
Ce Juif qui a tant souffert ; Jésus monte au calvaire, puis Jésus est crucifié (extrait d'une verrière du 15ème siècle) :
Vitraux donnés en 1506 par trois frères Baudoche, ici St Jean et St Claude :
Chemin de Croix :
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Commentaire écrit le vendredi 3 juin 2011 à 15:56:59 (lien) Philippe Bonjour, je ne fréquente pas les magasins les dimanches et jours de fête, je n'ai donc rien remarqué jeudi. Je crois que c'est la meilleure manière de ne pas encourager ce commerce inhumain, parce ne prenant pas en compte les nécessaires vies spirituelle et familiale des employés. Notamment, les rues piétonnes bondées lors de tous les dimanches de l'Avent me dégoûtent, je ne suis donc soumis à aucune tentation. Je suis certain que le bonheur n'est pas proportionnel à la consommation, au delà des limites du raisonnable.
Commentaire écrit le jeudi 2 juin 2011 à 11:20:45 (lien) Curieux Voyez-vous Philippe, aujourd'hui c'est l'Ascension, une grande fête Chrétienne, et bon nombre de grands magasins sont ouverts... même en Lorraine ! Cela ne vous choque t'il pas de voir des citoyens empêchés de célébrer l'Ascension par ce que leur employeur a décidé de les faire travailler ? Si le débat sur la laicité, celui sur l'identité nationale pose problème, si le port du voile intégral doit être respecté au nom de la réligion, popurquoi devons-nous renoncer à nos traditions, à notre culture ?
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 14:47
Le nombre d'oeuvres d'art est impressionnant dans cette église (à 20 km au sud-ouest de Metz) comparé à ce qu'on trouve au Centre Pompidou !
L'architecture est aussi très particulière : gothique à l'intérieur alors que l'extérieur est roman.
"Gorze a entretenu pendant des siècles des liens très importants avec la cité épiscopale. En effet, en 749, l'évêque de Metz Chrodegang y fonda l'abbaye de Gorze, centre d’une seigneurie indépendante jusqu’en 1661 et important complexe monastique (église abbatiale, palais)."
Christ de Ligier Richier ou son école :
"Le tympan du Jugement Dernier: ce portail est situé sur le bas-côté nord : sous un arc tréflé, le Christ-Juge, les bras levés, est encadré par 2 personnages, l’un sortant du tombeau, l’autre avalé par un monstre." :
Démon de gauche :
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Commentaire écrit le jeudi 8 septembre 2011 à 16:43:55 (lien) Philippe au nerveux : ce sont des nouvelles mensuelles :-) Rien d'extraordinaire à ça.
Commentaire écrit le mercredi 15 juin 2011 à 19:49:37 (lien) Nervous Breakdown Plus d'un mois sans nouvelles, ça c'est du blog.
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 14:41
Alors, ce sera terminé quand ? Je propose d'ajouter cette information sur le panneau.
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 14:37
Sur le chemin officiel du Centre Pompidou vers le Centre-Ville :
"une seringue usagée = un jeton",
sans doute pour donner de l'inspiration aux artistes !
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 14:29
200 pages de bilan en quelques lignes
Un tel nombre de visiteurs en 1 an, ça se fête !
Pendant 3 nuits, il a été possible de visiter le Centre Pompidou gratuitement.
Seul le dernier étage a changé, c'est Daniel Buren qui a investi l'espace :
Aux autres étages, il y a la même chose qu'il y a un an, mais avec plus de vide puisque certaines oeuvres ont été décrochées (les plus renommées) ; il en reste toutefois de belles :
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Commentaire écrit le dimanche 12 juin 2011 à 09:43:21 (lien) Français ? J'y voyais les souillures portées sur le corps de cette pauvre bonne immigrée US forcée d'avoir un rapport consenti avec cet homme politique qui fait honte à la France !
Commentaire écrit le vendredi 3 juin 2011 à 16:12:41 (lien) Philippe Si ça avait été un homme nu, peut-être, mais ici il n'y a pas de lien avec l'actualité ! Ces pauvres femmes s'enduisent de peinture devant des messieurs en costard et pleins aux as, sous couvert d'art. Je ne vois ni beau, ni bien, ni vrai dans tout ça. Je ne comprends pas que l'argent public soit gaspillé ainsi pour subventionner des fantasmes de bobos.
Commentaire écrit le jeudi 2 juin 2011 à 06:10:11 (lien) Curieux C'est juste une question : la femme nue... y a t'il un rapport avec l'actualité ?
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 14:18
La précédente Municipalité avait installé, il y a quelques années, des panneaux d'information très intéressants près des monuments historiques. Ces panneaux sont en bon état mais leur design ne plaît pas à la nouvelle Municipalité.
NB. Ce panneau mériterait un petit coup de chiffon à dépoussiérer !
Pour un coût de départ de 700 000 euros, malgré ses promesses non tenues de ne pas augmenter les impôts, le Maire, Dominique Gros, fait réaliser de nouveaux panneaux par un graphiste de renom : Ruedi Baur. Metz a la folie des grandeurs !
Il y a eu un gros et coûteux travail de charte graphique, mais visiblement le texte est creux :
"Ici bat le coeur de la ville intemporelle, transformée et réinventée au fils des siècles (...), ici se dessinent les lendemains à l'Hôtel de Ville (...)"
Il paraît même que "les nourritures spirituelles et terrestres se mêlent sur les étals du Marché Couvert" ce qui est incompréhensible !
Essayez le texte qui suit au sujet de n'importe quelle ville, vous verrez, ça colle : "Boutiques et artisans reflètent l'âme de la ville, à explorer dans un parcours urbain en musardant dans les rues piétonnes, en profitant dans la douceur de vivre sur la terrasse d'un café. Le dynamisme commerçant est propice aux moments de plaisir, de partage, dans la diversité architecturale qui incite aux audaces contemporaines."
Seule consolation, des touristes étrangers peuvent retrouver quelques mots creux dans leur langue :
Personnellement, je lis "Office de Tourisme", le reste est illisible.
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 11:59
Abattage rituel au square de la porte Serpenoise
Nous avons eu une très intéressante réunion, promise le 30 mars, animée par Bruno Muscat, en présence de Béatrice Kempenich, 4 personnes du groupe de travail "Aménagements urbains" et 4 autres personnes du Comité de quartier, sur le sujet de la communication et de l'information du public concernant la place Mazelle.
Cette place est en travaux depuis 2 ans, il n'y aura plus de travaux dans 1 an. Bruno Muscat souhaite faire participer le Comité de quartier pour déterminer quel message, à qui, sous quelle forme, à quel endroit, sur le site, à partir de cet été.
Le Comité exprime clairement qu'il est intéressé par une communication sous forme d'un visuel comme celui du passage à niveau de la Patrotte, plutôt pour informer les piétons, sur 2 faces, en donnant les dates et les responsables des travaux, une idée de ce à quoi va ressembler la place, le plan de circulation après les travaux et pendant les différentes phases des travaux. Il est souhaité de plutôt mettre l'accent sur du concret, et une personne comme Dominique Loesch qui régule les feux. Le lieu d'installation du visuel a été discuté et pourra être confirmé par une visite sur place.
Le Comité s'est également montré enthousiaste à l'idée de monter un échafaudage en haut du parking pour permettre d'avoir une bonne vue des travaux, comme ce qui avait été fait près de la maison du projet du Centre Pompidou.
En raison du coût, l'utilisation de la façade du parking pour des bâches imprimées n'est pas jugée indispensable, sauf éventuellement pour signaler l'échafaudage.
L'idée d'une webcam montrant les images des travaux a été émise.
La population continue à souhaiter voir cette façade habillée car elle est jugée particulièrement inesthétique. Si des projets se lancent à ce sujet, la population pourrait être consultée, car elle n'est pas forcément favorable à des solutions coûteuses d'art moderne !
Le Comité a insisté sur son intérêt pour une référence à l'histoire de cette place dont le nom macellum rappelle la passé gallo-romain, et la tenue d'une manifestation agricole. Certaines personnes du Comité se souviennent de bals populaires dans une ambiance de guinguette très sympathique, et de nombreux animaux qui plaisaient aux enfants.
Nous abordons aussi quelques autres sujets comme les places de la Gare et Camille Hocquard.
L'avant-projet d'aménagement de la place de la Gare sera présenté en septembre, avec une maquette dans la gare, des bâches peut-être tendues sur la façade, une conférence publique de Joseph Abram, en charge du classement Unesco du secteur. La place souffre d'un défaut de conception, en raison des escaliers qui la bordent. L'objectif est de la remettre à niveau et de faire passer le Mettis et les bus au milieu, comme autrefois avec le tram.
Remarque : les habitants auraient le droit d'être informés d'une recherche en responsabilité s'il y a vraiment eu défaut de conception car faire et défaire coûte très cher. En avons-nous les moyens ?
Place de la Gare en 2007 :
Vue actuelle autour de la place Camille Hocquard :
Vue future :
Le rond-point de la place Mazelle devient un carrefour, et le carrefour de la place Camille Hocquard devient un rond-point. La raison de ces changements est inconnue.
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Commentaire écrit le dimanche 15 mai 2011 à 14:14:07 (lien) Philippe à Messine. C'est vrai qu'on a de la chance !
Commentaire écrit le jeudi 12 mai 2011 à 14:24:16 (lien) messine Bonjour Philippe, Voilà un moment que je ne suis pas passée, merci pour vos articles. Vous avez de la chance d'avoir eu une réunion intéressante... notre commission ne s'est pas réunie depuis janvier, autant dire que la motivation est au plus bas! Bonne continuation!
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Par PhilippePhilippe le 12 Novembre 2011 à 11:45
Exercice de désincarcération par les pompiers de Montigny-lès-Metz :
Combat de chars :
Grosse affluence pour cette fête populaire :
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Par PhilippePhilippe le 9 Novembre 2011 à 22:51
Passages, théâtre lourdement subventionné !
Ce "festival des théâtres de l'Est de l'Europe et ailleurs" mérite notre attention car il engloutit des centaines de milliers d'euros de subventions !
Mai 2011 : Passages "installe son campement" place de la République pour sa première édition à Metz, "pour la préférence internationale, (...) pour entendre d’autres langues que la française" comme l'affirme son directeur, Charles Tordjman, pour qui, "il y a trop d'étrangers dans le monde" (citant l'humoriste Luis Rego).
L'inauguration a eu lieu ce soir en présence du maire, Dominique Gros, qui se réjouit que les lycéens et les salariés des entreprises partenaires (et qui ont besoin de cultiver de bonnes relations avec la mairie) puissent assister à ce festival grassement subventionné par la ville de Metz. En dehors de ce public captif (80 % des places), combien de spectateurs vont payer leurs places (ce sera au maximum 20 %), ce qui serait un signe de leur véritable intérêt ? Ou bien s'agit-il d'une nouvelle activité pour bobos ?
Quelques exemples du programme :
Le roi Lear : "Ne cherchez pas à retrouver l’histoire du Roi Lear et encore moins les mots de Shakespeare dans ce spectacle venu d’ailleurs. C’est un spectacle sans paroles. Tout en musiques, frôlements et masques."
Ce n'est pas le roi Lear.
Presque une pièce, presque Pirandello : "Des hommes en noir, un prêtre, une femme au regard sombre, deux ou trois jeunes filles aguicheuses rêvant du beau gars du village, une veillée mortuaire, un jour de fiançailles, de la musique et des petits verres, ce n’est pas une pièce de l’italien Luigi Pirandello, le célèbre auteur de Six personnages en quête d’auteur, ce n’est pas non plus l’histoire d’un de ses récits siciliens, mais c’est son univers. Apre et débridé. D’où le titre du spectacle."
Ce n'est pas une pièce de théâtre, et ce n'est pas de Luigi Pirandello.
Les sorcières de Kiev : "On y voit des jeunes femmes nues bien dans leur corps, se maculant de boue et de paille. Puis les voici qui chevauchent un balai et sautent en l’air. Une fête de sorcières, une fiesta pour des corps enfin libres de vivre leur vie."
C'est du cul.
Les Trois sœurs : "Pendant que les spectateurs s’installent, les acteurs encombrent le plateau d’objets, de linge, de billots, d’instruments de musique, d’uniformes, de bouteilles de vodka et même d’une grosse loupe déformante. Au fond sur un écran apparaît et disparaît la première version du spectacle filmée en plein air, comme un souvenir évanescent. L’atmosphère s’alourdit. Bientôt un incendie va éclater. Mais c’est toute la pièce qui semble brûler dans cette version sombre et incandescente."
Pourvu qu'on n'appelle pas les pompiers !
Obludarium, ou cabinet des monstres : "Quand au détour d’une rue on voit apparaître, Place de la République à Metz, le chapiteau des frères Forman conçu pour Obludarium, on est saisi, attiré, aimanté."
Il faut croire qu'on est "saisi, attiré, aimanté" :
Savanna : "Pour ce spectacle, l’artiste israélien a fait appel à une danseuse qu’il connaît bien, sa femme Sylwia Drori et à un ami marionnettiste Inbal Yomtovian."
Spectacle en famille et entre amis.
Et si on refaisait l'Europe ? "On constate aujourd’hui que cette construction ne met pas les peuples à l’abri de réactions xénophobes, des égoïsmes et du retour de vieilles passions destructrices. La preuve a été faite que la mise en valeur d’une culture commune et des références partagées peuvent barrer la route à la xénophobie. Il ne suffit pas de dire que la culture est nécessaire. Il faut lui donner toute sa place. Il faut qu’elle s’affirme dans la complexité de la construction des individus et des groupes sociaux. Tant que la culture est présentée, de façon simplificatrice, comme la seule expression d’une identité dominée par une donnée unique (par exemple nationale ou religieuse), elle ne pourra pas contribuer à l’émancipation des individus. Chacun doit pouvoir combiner des données complexes d’identification comme le sentiment d’appartenance à différents groupes (locaux, régionaux, nationaux, internationaux), à une génération, à une ou plusieurs orientations sexuelles... L’identité simple est un outil d’enfermement, les identités complexes, révélées par la culture, rassemblent autour de goûts et d’émotions partagées. C’est par la mise en avant d’une culture ouverte, refusant toute exclusive que doit se former une nouvelle Europe. Ce que nous avons en commun n’est pas un bien exclusif : la démocratie, le respect de l’altérité et des droits fondamentaux des personnes ont un caractère universel. La mise en évidence des ces valeurs, l’accès à une culture ouverte sont aujourd’hui une urgence. Un débat sur ce thème rassemblera des acteurs du festival Passages et quelques figures intellectuelles majeures du débat culturel européen comme Pascal Ory, professeur d’histoire culturelle à l’Université Paris I."
Contre les identités nationale ou religieuse qui enferment. Pour Tordjman, "la France c’est comme une mobylette, elle avance mieux avec du mélange". Comme en Israël, comme au Liban, comme en Serbie etc.
Nostalgie du Communisme, avec Tordjman, "tous à l'Etoile rouge !" :
Passage 2011 est financé et soutenu par nous tous, mais encore :
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Par PhilippePhilippe le 9 Novembre 2011 à 22:36
Méchant Cavaignac, gentil Lévy
Gustave Kahn est connu du milieu littéraire pour avoir été l’initiateur du vers libre. Écrivain symboliste, animateur dans de petites revues, critique d’art, Kahn est aussi un intellectuel engagé qui n’hésita pas à prendre part aux idées anarchistes, socialistes, féministes, et sionistes.
Pour les écrivains symbolistes, le monde qui nous environne n’est que le reflet d’un univers spirituel. Les écrivains symbolistes rêvent d’atteindre un monde impalpable, inaccessible, intérieur caché derrière le monde visible des choses et des êtres. Les symbolistes recourent au symbole, à la métaphore, à l’allusion. Au lieu de nommer un objet, ils le suggèrent.
Chantonne lentement et très bas...mon coeur pleure...
Tristement, doucement, plaque l'accord mineur ;
Il fait froid, il pâlit quelque chose dans l'heure...
Un vague très blafard étreint l'âpre sonneur.
Le square Gustave Kahn est en réalité le parvis de la synagogue.
Ce parvis était une rue m'a expliqué le jeune gardien qui est sorti par une porte métallique quelques instants après la photo.
Il m'a demandé ce que je faisais là, si j'étais un touriste. Je n'étais pas vraiment le bienvenu avec mon appareil photo.
Arcade décorée, colonnes et chapiteaux de la synagogue :
"En septembre 1935, Elie Bloch est nommé à Metz, rabbin adjoint chargé de la jeunesse auprès du grand rabbin Nathan Netter. Elie Bloch devient le lien entre deux communautés qui se côtoient sans se fréquenter, les "yékés", Juifs messins assez francisés, voir même assimilés, et les "polacks", nouveaux arrivés d’Europe de l’Est qui affichent avec force leur judaïsme. Le jeune rabbin pratique des méthodes pédagogiques nouvelles favorisant la réflexion plutôt que le bourrage de crâne. Il séduit de la sorte les jeunes des deux communautés qu’il rassemble en majeure partie au sein des Eclaireurs Israélites. Il anime chaque samedi après-midi un oneg shabath, et organise le jeudi des sorties au cours desquelles les jeunes visitent les réalisations sociales des municipalités ouvrières. Cette volonté de faire du judaïsme une religion ouverte sur le monde plaît à tous les jeunes Juifs de Metz.
A partir du 3 septembre 1939, les habitants de la Moselle rejoignent les départements de la Vienne, de la Charente et de la Charente-Maritime. Environ 200 000 Lorrains sont transférés de la sorte, parmi lesquels près de 4 000 Juifs. Nommé aumônier des Juifs évacués, Elie Bloch les accompagne."
Caméras partout, on n'est pas invité à entrer, ce n'est pas une église :
Palissade et caméras de surveillance :
Je croise quelques messieurs en noir à chapeau et longue barbe qui se rendent à la synagogue, accompagnés d'enfants.
De l'extérieur, on entend chanter.
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Commentaire écrit le samedi 7 mai 2011 à 10:02:39 (lien) Philippe Merci Julie !
Commentaire écrit le samedi 7 mai 2011 à 07:33:14 (lien) Julie Bonjour Philippe, Votre blog est vraiment très intéressant : permettez-moi de vous féliciter pour son contenu qui, c'est tout à votre honneur, nous restitue par délégation ce que le promeneur attentif perçoit ! Encore BRAVO pour votre démarche citoyenne de partage de notre vécu Messin. Longue vie au blog "La Vie à Metz" !
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Par PhilippePhilippe le 9 Novembre 2011 à 22:32
Beau mur végétal comme on aimerait en avoir un sur le parking place Mazelle !
En plus, c'est une entreprise locale (de Woippy) qui construit ces structures.
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Par PhilippePhilippe le 8 Novembre 2011 à 22:38
Découvrir le patrimoine lié à la défense de Metz
Remparts le long de la Seille et du bras mort de la Moselle
Le long des remparts de la Seille
Reflet :
Confluent de la Moselle et de la Seille :
Vue depuis le belvédère :
Porte de Sarrelouis :
Oeuvre d'art contemporain exposée le long du circuit :
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Commentaire écrit le jeudi 12 mai 2011 à 15:54:28 (lien) Le gros Robert Merci Philippe ! Que celui qui n'a jamais fait de faute me jette la première pierre, ce sera le début du rempart.
Commentaire écrit le lundi 9 mai 2011 à 16:36:47 (lien) Philippe au gros Robert : merci, j'ai corrigé ! En effet, "rempart", ne s'écrit pas "rampart".
Commentaire écrit le lundi 9 mai 2011 à 15:36:39 (lien) Le gros Robert REMPART, subst. masc. REMPART, subst. masc. A. 1. FORTIF. Forte muraille de maçonnerie ou de pierres, levée de terre ou encore enceinte rasante composée de bastions et de courtines, surmontée d'un parapet, entourée d'un fossé percée de portes et de poternes, destinée à protéger le périmètre qu'elle entoure en le rendant inaccessible de l'extérieur. Faire le tour du rempart; abattre, élever des remparts; monter sur le rempart; fortifier une ville d'un rempart; les remparts d'une place forte, d'un château. Des villes dont on voit les clochers derrière les remparts garnis de canons (POURRAT, Gaspard, 1925, p. 50).
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Par PhilippePhilippe le 8 Novembre 2011 à 22:14
Aménagement de la place Mazelle et de ses abords
"Véritable petite forteresse, avec ses tours, ses créneaux en mâchicoulis, la Porte des Allemands doit son nom aux chevaliers teutoniques qui avaient fondé un hôpital à proximité. Sa construction fut entreprise en 1230, avec l’édification d’une première porte, orientée vers le centre ville et formée de deux tours relativement étroites. Elle fut encore renforcée par la construction en 1445 de deux nouvelles tours, plus imposantes, dotées de nombreux éléments d’architecture militaire afin de contrôler l’accès au pont qui enjambe la Seille."
"Au pied d’une tour de la porte des Allemands, on peut remarquer un personnage sculpté, que l’histoire a nommé "l’artilleur de Metz", tourné vers l’extérieur de la ville. Là où d’autres auraient pu penser à représenter un citoyen souriant, les bras ouvert pour mieux accueillir, nos ancêtres messins ont eu une autre idée : quel meilleur avertissement qu’un artilleur messin, la tête entre les jambes et posée sur un boulet (les artilleurs étaient les soldats qui tiraient au canon !), les sous-vêtements baissés, et dirigeant vers l’ennemi son arrière-train moqueur et menaçant !"
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Par PhilippePhilippe le 8 Novembre 2011 à 22:05
Vierge de l'église Saint-Maximin
Il paraît que cette église est visitée pour ses vitraux par les visiteurs du Centre Pompidou.
Westley de Boston l'a-t-il visitée ?
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Par PhilippePhilippe le 8 Novembre 2011 à 22:00
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